Libération de Michelle Martin, l’ex-femme de Marc Dutroux

Nous avions soutenu la pétition contre la venue en France de l’ogresse

Non a la venue en France de Michelle Martin, compagne de Dutroux

7897 signatures
Auteur : Laurence VANNYPEN 11 chemin de la Rivoire 43620 SAINT PAL de MONS
Description : Citoyenne française n’ayant jamais oublié le calvaire de Julie & Mélissa, Bernard, Pierre, Philippe, Bénédicte , Henrieta,  les sœurs Manckova, ainsi que Laetitia , Sabine, An & Eefje
À l’attention de Monsieur Nicolas Sarkozy,  Président de la République Française,
Non à l’asile politique en France pour Michelle Martin, compagne de marc Dutroux, complice de tortures, viols, pédopornographie, séquestration, meurtres d’enfants et autres monstruosités !

Elle n’a purgé qu’un tiers de sa peine et devrait sortir de prison SI la France accepte de l’accueillir, afin d’être confiée à un couvent !
REFUSONS massivement !

Notre pays serait-il un dépotoir ?

Un tiers de peine effectué pour des crimes aussi abominables !
C’est honteux et injuste !
Accepter cette venue serait se rendre complice de cette injustice !

 
Rappelons au passage le calvaire des fillettes de 8 ans,  Julie Lejeune et Melissa Russo, emmurées vivantes dans un cachot aménagé par le couple Dutroux-Martin dans sa maison de Marcinelle, près de Charleroi. Michelle Martin aurait pu les libérer, elle a préféré les y laisser succomber d’une mort atroce.
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L’ogresse ne viendra pas en France, mais elle est libérée !

Cela faisait 8 ans que Michelle Martin avait été condamnée à 30 ans de prison. Un jugement qui était intervenu après une peine préventive de 8 ans également. Seulement voila, pas de peine plancher en Belgique, il n’y en aura d’ailleurs bientôt plus non plus en France même pour les tueurs d’enfants.

 Une libération conditionnelle est susceptible d’être accordée au tiers de la peine, la justice belge est donc plus douce aux tortionnaires qu’à leurs victimes mortes de faim comme emmurées vivantes.

Michelle Martin a bénéficié de cette conditionnelle accordée par le tribunal d’application des peines. L’hospitalité du couvent des Sœurs Clarisse était une condition de cette conditionnelle, mais légalement il lui aurait fallu aussi dédommager les familles des victimes ce qui n’entre pas dans les préoccupations de l’ogresse. On ne peut donc que compatir au camouflet infligé par cette « justice » à la famille des victimes, il n’existe pas de véritable façon de compenser leur peine, mais pour reprendre l’expression d’un politique belge, la décision du tribunal est écoeurante. .

L’ogresse a donc quitté la prison pour se rendre au couvent à Malonne, à proximité de Namur  en Belgique. Il est question d’y opérer sur place sa réinsertion. Tâche qui pourrait relever de la mission impossible quand on sait que Michelle Martin était institutrice et a pu laisser des enfants de 8 ans, de l’âge de ses élèves, mourir dans d’atroces conditions. On dépasse ici la compréhension de la nature humaine, rappelons encore qu’elle aidait aux kidnappings comme rabateuse !

Les Sœurs croient au pardon, l’État belge aussi.

Pardonner ?!

Mais comment, et surtout comment imposer ce pardon à des parents qui ne croient plus à la justice ?

Jean-Denis Lejeune a d’ailleurs écrit à l’ogresse pour lui dire qu’au nom de sa fille Julie, des questions auxquelles aucune réponse n’a été donnée, il ne lui pardonnera pas.

Les Belges n’ont plus n’ont pas envie de pardonner, mais on le leur impose. Fiscalement parlant, puisque la protection de l’ex-compagne et complice du monstre Dutroux continue à être à la charge des contribuables Belges à hauteur de 120 000 euros par mois, l’accès au couvent étant filtré par 40 policiers jours et nuits.

Bien sûr le dire haut et fort nous fait taxer de populistes !!!

Eh bien le mot n’est pas si laid quand il s’agit de prendre le parti des victimes.

Redisons le donc, il n’y aura aucun pardon pour ceux qui ont tué nos enfants, qui ont ruiné leur vie ou leur avenir.