Au nom des enfants violés


Une interview tout à fait éloquente de Laurence Brunet-Jambu, touchée par une affaire de pédocriminalité et en responsabilité au CEDIF Bretagne (à partir  de la vingt-neuvième minute)  :

L’ensemble du reportage sur TVLiberté fait référence au CEDIF à partir de la huitième minute en évoquant le  scandale de viols en série d’enfants étouffé par les services sociaux britanniques :

 

 

9 réflexions au sujet de « Au nom des enfants violés »

  1. C’est certain, il vaut mieux avoir les genoux brisés que d’avoir été violé… Faire état d’un viol ou d’un abus sexuel contribue en France à vous enfoncez encore plus (mon expérience de la « Justice familiale rennaise »)… surtout qu’on dit que les victimes, ne pouvant que répéter l’affaire, sont de futurs prédateurs. Eh ien devinez quoi ? Maintenant j’ai une dent contre la « Justice française » qui m’a complétement privé de mes enfants, « Justice qui, dans la foulée de mon violeur (une femme) de mon enfance préscolaire, me privait une seconde fois de mon enfance.
    Mais comme la qualité défaite se refait, me voici avec une très jeune femme et à nouveau deux enfants dont le premier est né mon jour anniversaire…
    En attendant mieux, voilà ceci pour la Justice française https://www.facebook.com/photo.php?fbid=704017826340292&set=a.249286241813455.58916.100001962423105&type=1&theater

  2. C’est bien la le problème, rien ne bouge pour les milliers de familles, pourtant l’actualité est riche en rebondissement ses derniers mois, avec cet article dans Nexus de Septembre sur les abus de placement qui s’ajouter, ainsi que ce reportage sur France 5 le 19 septembre prochain sur la protection de l’enfance et les abus.

    1. Quand les abus sont évidents et que les responsables alertés ne font rien, alors ils snt complices et doivent être poursuivis à ce titre. Le problème est que ce sont ces mêmes responsables qui ont le pouvoir de poursuivre ou de ne pas poursuivre. Autrement dit, ils sont complices et ils couvrent ce qui revient à être coupable du crime de forfaiture. Voila donc l’Etat français.

  3. bonjour
    nous nous y employons mais obtenir la condamnation des magistrats négligents est compliqué, mais ensemble nous allons y arriver rien ne doit être lâcher , se battre toujours et relever la tète bien haute

  4. Ce que dit Laurence Brunet-Jambu confirme mon parcours : il n’y a pas de possible reconnaissance sociale d’un tel traumatisme. Comment peut alors s’intégrer socialement une personne victime d’un tel traumatisme ? C’est de l’ordre de l’impossible.
    Pour ma part, le souvenir d’un tel traumatisme m’est revenu à l’âge de 23, diplôme d’ingénieur en poche, à la fin de la servitude huMILITAIRE qui reproduisait sur mon corps l’emprise que j’avais déjà subit par la mauvaise bonne jouisseuse de mon enfance pré-scolaire.
    (première question : on peut se demander si tout notre système n’est pas fondé sur le viol, ce qui expliquerait le deni de la part des autorités).
    Ma subite prise de conscience m’a fait complétement dévié de ma trajectoire… et c’est comme si je m’étais mis en quête de reconnaissance sociale en tapant au plus au niveau : ainsi j’ai fréquenté familialement la famille d’un pdg dont l’entreprise payait deux années sur trois le plus d’impôt en France. Plus tard, dans le cadre de mon travail, je m’asseyais dans le fauteuil du Gouverneur de la Banque de France (alors JC Trichet) alors considéré comme l’homme le plus puissant de France.
    Mais je n’ai tiré aucune reconnaissance de ces contacts : pire mon employeur me sous-traitant à la BdF a fait été d’armes à feu lors de notre dernière négociation, cela afin que je reste… sous payé.

    Donc, la filière « reconnaissance sociale d’un tel traumatisme » est complétement bouchée en France. Comment alors pouvoir faire sa vie dans ces conditions ? Il me semble qu’il faut alors activer la voie de l’assassinat social, se faire socialement assasiné par une « autorité », tel un JAF qui se comportera alors en juge-bourreau. Ce que j’ai fait avec succès (il ne demandait que cela). J’ai donc été complétement privé de mes enfants, le seul lien social qui fonctionnait pour moi.

    Et partant très très loin (Philippines) comme pour sauver mon unité attaquée, j’ai eu la chance d’un déclic avec une très jeune femme de 23 ans, avec qui j’ai désormais deux enfants échos à mes enfants perdus.

    Reste un problème pour moi à résoudre pour entrer de « plein pied » dans une nouvelle vie : mes genoux qui ne me portent plus (genoux abimés à l’armée, moyen de me sortir de cette emprise huMILITAIRE -en exercice de nuit, j’ai entendu un gradé demander à un appelé de l’assistance publique de se mettre en position de levrette).

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.