Ce n’est pas la première fois que le CEDIF s’exprime sur les délires du transgenre qui ne sont rien d’autre qu’une maltraitance et une atteinte à l’intégrité corporelle et pour le moins psychologiques de nos jeunes sévissant jusque dans nos écoles (https://comitecedif.wordpress.com/2016/01/30/la-theorie-du-genre-a-lecole/).
Le terrorisme intellectuel mené par les lobbys transgenres semble d’ailleurs ne pas connaître de limites notamment au Royaume-Uni où la romancière JK Rowling, rendue célèbre par la saga Harry Potter, doit se défendre pour avoir informé de ce que le professeur Jacob Breslow, un administrateur de Mermaids (les sirènes), un fonds de charité pour des enfants transexuels se soit exprimé lors d’une conférence de l’association américaine B4U-ACT en 2011 afin de soutenir des pédophiles.
Elle a aussi mentionné que le modérateur de Mermaids avait encouragé des enfants à s’inscrire sur une plateforme en ligne pour parler plus tranquillement de transition de genre, or cette plateforme avait été mise en cause pour exploitation sexuelle.
Le producteur anglais transgenre « India » Willoughby a alors menacé de poursuite JK Rowling l’accusant de transphobie.
La romancière ne s’est pas dégonflée et a mis en cause Mermaids et son implication dans l’affaire de la clinique Tavistock spécialisée dans le changement de sexe bien que financée par la sécurité sociale britannique. Il est apparu, en effet, que les enfants demandant un changement de sexe dont certains ont moins de 10 ans, y avaient été poussés par leurs parents ainsi que par des militants transgenres actifs au sein de la clinique selon le rapport du psychiatre David Bell rédigé après des révélations d’employés. La clinique avait ainsi rabattu 138 clients en 2010 mais près de 5 000 en 2021.
Elle a également déploré que des célébrités se soient engagées pour soutenir le transexualisme des enfants désignant l’actrice Emma Watson, le prince Harry et Meghan Markle.
La romancière ajoute que Mermaids s’est infiltrée dans les écoles britanniques, dans la police, mais aussi au sein des autorités publiques de santé, qu’elle encourage les jeunes filles « en transition » à s’aplatir les seins sans demander l’autorisation des parents.
Pour JK Rowling, la dysphorie de genre, à savoir l’impression d’avoir une identité sexuelle différente du sexe biologique, existe chez de nombreux adolescents pour l’avoir ressenti elle-même, mais disparaît la plupart du temps à l’âge adulte. Insister sur cette dysphorie auprès d’un public jeune n’est donc rien de moins qu’une maltraitance dont les effets encourageant la transition sexuelle sont irréversibles.
C’est aussi ce qu’affirme Keira Bell, une cliente Tavistock dont la « transition » l’a privé définitivement de ses seins, lui laissant une barbe, des poils, une voix grave et une fonction sexuelle affectée. Elle explique n’avoir pas été apte à consentir et réclame l’interdiction de l’utilisation de bloqueurs de puberté avant l’âge de 16 ans. Un millier de victimes devraient se joindre à une action de groupe contre la clinique alors que les autorités de santé britannique vont la fermer, pour en ouvrir deux autres !
Merci donc à JK Rowling de dire la vérité et de fouiller ce merdier au fur et à mesure des insultes et menaces de mort qu’elle reçoit d’une bande de tarés subventionnés.
Une réflexion au sujet de « JK Rowling ose la vérité »