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tampon CEDIFNous sommes débordés de demandes

Depuis la création du CEDIF vos demandes n’ont cessé d’augmenter et cela à un rythme bien  plus rapide que celui de l’engagement de nouveaux bénévoles.

Les résultats ce sont des  délais de réponses à vos demandes qui peuvent atteindre plusieurs semaines. Comment, dans de telles conditions, vous apporter satisfaction et intervenir utilement ?

D’un autre côté beaucoup de familles nous sollicitent en ayant aussi demandé l’intervention d’autres associations. Certains nous prennent pour une sorte d’administration ou un service de médiation financé par le contribuable. D’autres encore exigent d’être appelés au téléphone et ne se sentent concernés que par leur propre affaire.

Dans de telles conditions nous perdons souvent notre temps : nous n’avons pas vocation  à répondre à des demandes de parents velléitaires qui ne souhaitent ni s’engager ni entreprendre les démarches nécessaires pour améliorer leur situation familiale.

Nous sommes très stricts sur ce point : si vous souhaitez que l’on ne s’occupe que de votre affaire sans vous engager auprès d’autres parents, alors vous perdez votre temps ainsi que le nôtre car nous ne donnerons alors plus suite à vos demandes. Si par contre vous êtes capables de vous organiser localement et en avez la volonté, alors nous vous épaulerons.

De plus en plus de familles bafouées 

Certes les dernières lois ne vont pas dans le bon sens et sont obtenues par le pouvoir de pression exercé par les travailleurs sociaux. La majorité actuelle est responsable de cette situation pour des raisons idéologiques. Mais dans les départements l’opposition trahit souvent ses promesses face aux engagements que nous avons voulons obtenir en faveur des familles bafouées. Cette situation s’explique bien par la peur de déplaire à une profession qui se permet tout.

On peut donc comprendre que de plus en plus de parents soient inquiets et craignent le pire dès la première information préoccupante émise.

Pour autant il ne suffit pas que le CEDIF écrive aux présidents de conseils départementaux sur votre propre affaire pour qu’elle se débloque d’un coup.

Nous ne pouvons pas faire ce que vous ne faîtes pas pour vous-même et nous n’interviendrons plus si vous ne vous engagez pas localement avec les autres familles qui nous ont contacté. 

Très concrètement, et vous devez le savoir,  évoquer une situation isolée ne pèsera pas devant les administrations du social et les menaces de procédures contre les travailleurs sociaux ne les impressionnent pas. Comme nous l’avions écrit, leur droit de diffamer est pratiquement assuré.

Par contre sur un même département, le fait de se regrouper pour faire connaître des situations semblables avec de mêmes abus réalisés par de mêmes services de l’ASE ou d’associations satellites vous donnera du poids. Autrement dit votre affaire aussi dramatique soit-elle n’intéressera personne car vous serez les seuls à témoigner contre telle administration, association ou travailleur social. A contrario, si vous êtes deux, trois, quatre et plus à faire le même récit et à vous organiser avec nous, alors il sera difficile de vous ignorer. 

En conséquence, si vous n’êtes pas prêt à contacter d’autres parents sur votre département voire région, si vous refusez que d’autres prennent contact avec vous, et ultérieurement si vous ne souhaitez pas participer à une section CEDIF qui se constitue, alors nous ne donnerons plus suite à votre demande.

Sous quelle forme prendre contact ?

Par contre, si vous acceptez le principe de rentrer en contact et aussi d’épauler d’autres parents (nous vous aiderons pour cela) alors vous saurez vous aider mutuellement au niveau local en sachant qu’un responsable local pourra toujours nous contacter pour que nous puissions étudier ensemble votre situation. Pour autant nos actions ne se substituent pas à ce qu’un avocat pourrait faire pour vous.

En supposant que vous acceptiez le principe ci-dessus énoncé, il vous restera encore à être en accord avec la philosophie du CEDIF telle qu’exposée dans notre manifeste.

Il vous faudra aussi consulter le site du CEDIF notamment dans ses fiches  pratiques si vous souhaitez seulement une réponse à vos questions.

Vous pourrez alors nous contacter à l’adresse suivante :

association.cedif@gmail.com

Et nous exposer très concrètement votre situation, sachant que nous ne prendrons pas toutes les premières demandes si nous pouvons considérer que les services de protection de l’enfance sont intervenus à bon escient, en effet des familles malhonnêtes et maltraitantes cela existe aussi.

Pour nous écrire restez en aux faits, nous savons que si vous vous scandalisez de votre situation c’est que vous n’avez pas été écoutés, que l’on vous a sali et que vos enfants souffrent. Précisez nous plutôt votre situation à l’écrit, ce qui implique aussi des efforts pour résumer votre affaire et la rendre compréhensible : mettez vous à la place de votre interlocuteur afin d’être certain de bien vous faire comprendre.

Nous ne répondrons évidemment pas aux personnes qui nous écrivent de la façon suivante «  au secours, appelez moi au …… ».

Merci donc de préciser de façon succincte lors de vos envois :

  • Vos coordonnées.
  • Prénoms et âges de vos enfants touchés.
  • Mesures éducatives mises en place dans le passé et actuellement.
  • Décisions prises par le juge des enfants le cas échéant.
  • Raisons invoquées pour les mesures prises à l’égard des enfants (même si c’est difficile nous devons connaître les reproches qui vous sont faits).
  • Contestations à l’égard des éléments retenus par les services de l’ASE.
  • Existence d’un conflit parental.
  • Difficultés dans les relations avec le service de l’ASE, les associations, les familles d’accueil, foyers, …
  • Situation actuelle des enfants.
  • Expertises réalisées.
  • Actions judiciaires en cours.

Nous nous réservons ensuite le droit de ne plus vous répondre si nous considérons que vous n’agissez pas de la façon la plus appropriée pour vos enfants ou si vous refusez de prendre des contacts avec d’autres parents.

La cotisation c’est pas automatique

Certains ont fait le choix de nous envoyer des cotisations en pensant que c’est là un moyen d’obtenir des réponses plus rapides. Ce n’est pas ainsi que nous fonctionnons, d’abord parce que nous ne sommes pas habilités à nous substituer à des avocats comme précisé plus haut, mais aussi parce que l’on ne peut adhérer au CEDIF que si l’on s’engage concrètement, vos adhésions sont donc censées être validées avant d’être acceptées.

C’est là un principe déontologique d’ailleurs, nous vous conseillons ainsi de ne pas faire confiance aux associations qui vous demandent de payer d’abord et d’être aidés après.

On ne saurait se dire à tort soutenu par le CEDIF

Enfin, si vous faîtes référence au CEDIF sur vos sites ou blogs c’est une bonne chose, cependant nous avons relevé ces derniers temps des références abusives au CEDIF. Certains, pour leur propre affaire se sont prétendus soutenus par le CEDIF alors que nous ne connaissons rien de ce qui leur arrive. Un blog s’est même permis de citer des noms et notamment les coordonnées d’une responsable de notre association, en ajoutant que le CEDIF allait faire le ménage …

Nous désapprouvons évidemment une telle démarche et précisons que nous n’avons jamais annoncé à l’avance faire le ménage dans quelque écurie que ce soit.

Le CEDIF agit certes pour dénoncer des situation et demander des comptes, mais il ne le fait qu’avec des preuves et surtout il ne prévient jamais à l’avance de ce qu’il va faire