En Catalogne aussi la sexualité réelle ou fantasmée des petits et tout-petits intéresse le gouvernement local, en l’espèce la Généralité de Catalogne à travers son programme éducatif affectif et sexuel « CoEduca’t’. Ainsi le guide destiné au cycle des 3-5 ans explique la masturbation avec des images explicites, la pornographie est ensuite abordée à partir de 8 ans et la pratique du sexe oral entre adolescents à 12 ans. L’avortement y est aussi promu pour sa gratuité.
Heureusement l’association des Avocats Chrétiens par la voix de sa présidente, Polonia Castellanos-Ademas, n’entend pas laisser l’État corrompre les petits. L’association a saisi la juridiction administrative pour obtenir l’annulation de ce programme lancé en 2019-2020. Elle avance, à raison, qu’un tel guide viole (le mot prend tous ses sens) les droits constitutionnels tels que la protection de la jeunesse et de l’enfance, les prérogatives éducatives parentales consistant à apporter une éducation conforme aux convictions religieuses et morales.
Le parti Vox a exigé en conséquence le démission du conseiller catalan à l’éducation, Josep Gonzalez-Cambray pour sa responsabilité dans la diffusion de ce guide très explicite qui relève de la corruption de mineurs et d’une fenêtre ouverte vers la pédophilie officielle.
L’implication des Etats dans la promotion de ce genre de saloperie chez les jeunes et très jeunes progresse à vive allure, ceci dans le sillage de la promotion des droits sexuels par l’ONU et le planning familial international.