Supériorité et mépris à l’égard des parents
La condescendance est une attitude bienveillante teintée d’un sentiment de supériorité et de mépris. Si on rajoute « de façade » alors on s’interroge sur la nature vraiment bienveillante de la personne condescendante.
La condescendance de façade permet idéalement de qualifier l’attitude des sévices sociaux : supériorité et mépris. Comme on nous l’a appris à l’école, les services sociaux veulent notre bien, les serviteurs de la protection de l’enfance ne dérogent pas à cette finalité affirmée.
Faire le bien des familles est donc leur métier, un métier pratiqué avec condescendance, car les mineurs ne sont que des sujets à traiter et leurs parents justement des « cas sociaux ».
La réalité c’est que pour faire le bien des mineurs, la moitié des procédures portent atteinte aux enfants et aux familles sans qu’une telle atteinte ne soit justifiée par l’existence d’une maltraitance.
En effet , condescendance oblige, les serviteurs de la protection à l’enfance se complaisent à dissoudre la famille par dévalorisation pour légitimer la création de nouveaux parents dits « parents sociaux » (famille d’accueil ou adoptive dont le statut parental dépend du bon vouloir des autorités de tutelle).

Extrait d’un discours de Danton à la Convention, 12 février 1793
Au-delà du rêve de Danton : parents et enfants doivent être rééduqués
Leur méthode de destruction volontaire de la famille est réalisée par un procédé illégitime qui consiste à invoquer l’article 375 du code civil pour « psychologiser » le ou les parents, aux fins de les classer : soit paranoïaques, ou psychopathes, incohérents, négligents, maltraitants, narcissiques, psychorigides … bien évidemment il sera dit que : « l’enfant ne sera pas en sécurité avec de tels parents »
Les travailleurs sociaux sont des adeptes de la reconstruction sociale sur des bases décrétées d’après ce qui leur semble correspondre au « bien de l’enfant ». Cette conception fait de l’enfant un moyen au service d’une conception anti-familiale et collectiviste. L’interprétation des lois relatives à la protection de l’enfance ne protège pas les enfants, les affaires récentes l’ont montré, non cette interprétation permet de retirer des droits aux enfants pour obtenir des droits à leur égard. Pour obtenir satisfaction, ces serviteurs de la protection de l’enfance se servent de la loi pour tuer la liberté individuelle. L’enfant va se retrouver pris en charge par le référent social et le parent par l’institution psychiatrique.
L’un et l’autre doivent accepter cet état pour « progresser », faute de quoi ils seraient dans le déni. La méthode a été pensée par Robespierre et Danton puis systématisée en URSS, un grand laboratoire dont l’humain était le cobaye avec en vue la création de « l’homme nouveau », celui qui ne s’appartient plus mais appartient à l’État.
Plus besoin de faire preuve alors de condescendance vis-à-vis des parents calibrés, formatés, ils méritent alors le respect que l’on accorde à un bel outil que l’on a façonné.
HB – XC
1. SIRIEIX – Le 14/02/2011 à 09:15
Aux infos de ce matin : Au moment où les magistrats font grève pour manque de personnels… 32 % d’absentéisme parmi les personnels de probation… sans commentaire !
2. Cyrano 58 – Le 25/02/2011 à 13:58
Le fait est que les juges disposent du VRAI pouvoir, dans la mesure où ils n’ont de comptes à rendre à personne, ni au gouvernement (indépendance de la justice exige!), ni aux citoyens (inamovibilité de leur fonction!).
Après le « responsable mais pas coupables » des socialistes dans l’affaire du sang contaminé, voici le temps du « ni responsables, ni coupables » des magistrats dans l’affaire Tony Meilhon. Un psychopathe est relâché, viole et tue…mais personne n’est responsable. Personne!
Ponce-Pilate n’aurait pas dit mieux.
3. Le PARTI des ENFANTS du MONDE – Le 06/03/2011 à 12:15
Comme dans toute profession, la perversité, la corruption et l’arbitraire ont atteint le 3ème pouvoir qui fait la guerre aux autres pouvoirs (politiques, médias). Le justiciable est maintenant face à une machine qui broie, tue, appauvrit et dépouille en tout impunité. Pour un même crime, un magistrat aura une sorte d’indulgence de ses pairs.
A nous de réagir et de montrer notre indignation tout en prenant garde de ne pas mettre tout le monde dans le même sac. Nous avons besoin d’une justice propre et responsable.
Michel Dudragne (médiateur)
4. alautis – Le 07/03/2011 à 07:52
Pour info:
FRANCAIS, CONTESTEZ LES PROCHAINES GREVES DES MAGISTRATS
Les victimes des tribunaux appellent à manifester le 29 mars contre cette justice qui transforme des victimes en condamnés.
Combien de refus de droit, de suicides, destins brisés, de combats dans la souffrance, de spoliations diverses, de grèves de la faim méprisées, de citoyens bafoués, etc…?
Les affaires, bavures, et erreurs graves en tout genre se multiplient au fil du temps frappant des millions de victimes traitées bien trop souvent en sous-citoyens par la caste judiciaire.
http://www.lodd.fr/
http://anvedj.org/
5. ANONYME – Le 07/03/2011 à 09:12
Français vous connaissez tous maintenant une victime de la justice Française
Des familles, des parents, des enfants sont broyés chaque jour,
La corruption est partout dans notre justice
Réagissons ensemble le 29 mars
Pour une justice propre et responsable
Demain se sera peut-être vous,
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