Ce sont aussi des enfants !

La vidéo « Dear Future Mom » (chère future maman) rallume en France le bien répugnant débat de l’eugénisme, non pas du fait de la vidéo elle-même, mais du très surprenant avis d’une autorité administrative.

Cette vidéo présente la lettre d’une maman qui a appris que le bébé qu’elle portait était trisomique. La maman a peur des conséquences : cet enfant doit-elle le laisser naître au risque qu’il soit un fardeau pour elle et pour la société toute sa vie durant ?

Des enfants trisomiques répondent à la lettre, expriment leur joie de vivre ; Ils lui expliquent en toutes les langues que cet enfant pourra l’aimer, qu’il pourra mener une existence autonome, et puis ce bébé qu’elle porte en elle c’est son enfant. Des mamans viennent alors serrer leurs petits dans leurs bras.

La vidéo est véritablement émouvante, le message passe très bien sauf peut-être la censure.

On ne peut donc pas comprendre la réaction du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel qui a fait savoir aux chaînes de télévision que « Dear Future Mom » ne représentait ni un message consensuel ni un message d’intérêt général, qu’il n’avait pas sa place dans un écran publicitaire, et qu’il s’agit de ne pas troubler la conscience des femmes qui, dans le respect de la loi, ont fait des choix de vie personnelle différents.

Un parti pris révoltant alors que le spot était émis par des associations, fondations qui se battent contre le syndrome de Down, responsable de la trisomie, qu’il s’agit de porter un regard différent et non stigmatisant sur les enfants atteints de ce syndrome.

Face à cela, le CSA ne voit qu’une remise en cause du choix personnel d’avoir recours à un avortement.

Si l’avortement relève d’un dispositif prévu par la loi comme d’autres dispositifs sur lesquels  chacun pourra avoir son opinion et être amené à faire ses choix personnels, une possibilité ne relève pas d’une obligation.

Il faut avoir du courage pour donner la vie à un enfant trisomique, comme il faut avoir du courage pour se dévouer à la cause de ces enfants, comme enfin il faut avoir du courage pour se dévouer à la cause de tous ces enfants, toutes ces familles abîmées par l’Etat.

Les solutions de facilité consistent à se laisser dicter ses choix par la pensée que l’État veut dominante sous la pression des lobbies qui considèrent que toute vie ne mérite pas d’être vécue.

Car là est bien la position de l’État avec en arrière plan le contrôle des populations.

Si l’État affirmait sa neutralité en la matière il ne pourrait pas d’un côté présenter l’avortement comme un choix personnel tout en considérant que le droit de s’exprimer contre l’anéantissement d’un fœtus trisomique ne relève plus de la liberté d’expression.

Jean-Marie Le Méné a répondu pour la Fondation Jérôme Le Jeune que le CSA «  se tait devant l’eugénisme. Il refuse de poser une limite à cette folie inédite dans l’histoire qu’est l’extermination quasi complète – par compassion fallacieuse – d’une population stigmatisée par son génome. Non seulement les trisomiques n’ont plus le droit de vivre, mais on n’a même plus le droit d’en parler. »

Sept jeunes trisomiques ont donc saisi le Conseil d’État contre l’attitude du CSA pour excès de pouvoir, considérant qu’on leur interdit ainsi la liberté de parole, et de fait il s’agit bien de cela.

Véronique, maman d’un bébé trisomique a été choquée par la réaction du CSA, une administration, une de plus, que nous payons sans approuver son attitude.

Avec un peu de recul rappelons que les réactions institutionnelles sous la pression de lobbies rappellent les préceptes de l’hygiène sociale à la sauce suédoise. Le terme d’eugénisme n’est donc pas employé à tort puisque l’élimination de « certaines tares » était et continue donc à être préconisée au nom de « l’assainissement de la race humaine ». Cette pratique a été menée dans les faits par divers moyens : d’abord la stérilisation des « tarés », puis l’extermination de ceux-ci et surtout des enfants à travers l’Aktion T4, aujourd’hui une simple prise de sang permet de faire « passer » un fœtus « taré ».

Abject, surtout quand on n’a plus le droit d’exprimer son dégoût.

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Les ennemis idéologiques de l’individu et des familles

Réflexions et constatations

Nous vivons une époque dans laquelle se développe une idéologie destinée à abolir le peuple et la liberté.

Voyez ces forums sociaux mondialistes, lesquels sous couvert d’un patriotisme humanitaire soumettent insidieusement le peuple à un encadrement social’ dont ils sont les   tuteurs :

– tuteur d’un peuple  conduit au chômage, à la précarité,  à   la pauvreté, psychologiquement affaibli et devenu cible d’une justice  actuarielle qui, par principe de précaution, leur retire leurs enfants pour les mettre en leurs foyers.

– tuteur d’un peuple de travailleurs piégés dans une consommation sous contrôle de l’Etat et des banques, conduit à l’encadrement social d’une pauvreté déclenchée. Ce peuple tombant dans une situation précaire ne pourra plus nourrir ses  enfants, les confiera aux services sociaux malgré lui, mais le processus de garde de leurs enfants c’est Alcatraz : irréversible.

– tuteur des ados victimes voulues des addictifs (virtuel, drogues, alcools…), lesquels vont tomber eux aussi dans le processus d’un encadrement social. Ces pauvres ados seront anéantis par le conditionnement des psys, plus aucun avenir de liberté de la pensée.

Habiba

Comment en sommes nous arrivés là ?

L’école, les media, ceux qui ont le monopole de la parole politiquement correcte  opposent aux deux extrêmes du spectre politique le communisme d’un côté, le fascisme et le nazisme de l’autre.

Cette opposition n’a pas de sens car il existe deux principes qui s’opposent en matière d’organisation des sociétés. Un principe basé sur la considération et le respect de l’individu, dans lequel s’applique le principe de subsidiarité, un autre basé sur la négation de l’individu, élément négligeable que l’on peut sacrifier au nom de la cohésion du collectif.

Communisme, fascisme, nazisme se retrouvent dans cette communion autour du collectif. Ils ont les uns et les autres pour objectif d’assurer la cohésion sociale au dépend des aspirations individuelles. Afin de surmonter cette contradiction, ils prétendent transformer l’individu en un élément de la fourmilière humaine. Ils entendent créer « l’homme nouveau » : qu’ils l’appellent le communiste ou l’aryen.

Le projet collectiviste contre les familles

Ils tamisent donc la société pour en trouver cette élite lobotomisée, quitte à purger le corps social de ses déviants par le camp d’extermination ou le goulag, la mort de l’individu est au bout du chemin et les enfants sont les cibles de ces systèmes prédateurs alors que la famille y est considérée comme un élément rétrograde, bourgeois.

Les nazis mettront en place les lebensborn, pouponnière d’enfants arrachés à leur famille pour leur origine « aryenne » ou leur germanisation si issus de couples mixtes.

Les communistes en URSS placeront les enfants de dissidents et les orphelins dans des familles idéologiquement conformes pour rééducation. En Roumanie, l’abandon était favorisé dans le cadre d’une politique nataliste destiné à fournir de nombreux petits communistes fanatisés et sans racine familiale, les janissaires de Ceausescu.

Un même message contre la société du « laissez-faire »

En dépit des horreurs qu’ils ont commis et qui se comptent en dizaines, centaines de millions de morts, les collectivistes de toute obédience : nazis, communistes, fascistes, ont été portés au pouvoir avec l’aide active ou l’inertie du peuple.

Ils ont su se rendre populaires en mettant en avant une idéologie anti-capitaliste dans des périodes de crise profonde alors que leur société sombrait dans la guerre civile. Ces graines de pestilence ont poussé sur le malheur du peuple pour accentuer encore sa descente aux enfers.

Les mêmes slogans sont encore utilisés sur un fond plus porteur teinté d’anti-racisme, d’anti-sexisme de façade et volontiers new age : « alternatives proposées pour résoudre les problèmes d’exclusion et d’inégalité sociale que le processus de mondialisation capitaliste, avec ses composantes racistes, sexistes et destructrices de l’environnement est en train de créer, au niveau international et dans chacun des pays. »

Une inversion des valeurs

Nul n’est sorti indemne de ces monstruosités politiques, rares furent les véritables résistants, présentés comme des ennemis du peuple ou des traîtres à leur race.

Tous ces collectivistes ont envoûté le peuple, ont créé leur cérémonials, ont inversé les symboles au service de leur cause maléfique. Par exemple, la croix gammée fut adoptée en 1920 par le DAP (parti des travailleurs allemands) par inversion du symbole de paix des bouddhistes, tout comme aujourd’hui la défense de l’intérêt général est invoquée par les néo-communistes partisans du fameux « un autre monde est possible », qui se baptisent altermondialistes ou Indignés et s’expriment ainsi : «  Nous, initiateurs du Forum Social Local  appelons tous ceux qui résistent, luttent, mettent en pratique ou inventent des voies alternatives à se joindre à la construction d’un mouvement local pour poser des pierres d’un autre monde possible »

A y regarder de près ce sont pourtant les mêmes qui ont pris les manettes du pouvoir dans nos administrations sous l’égide de syndicats hyper-puissants. Ces adeptes d’un nouveau monde social veulent former une nouvelle société mondiale dominée par un peuple façonné, à la manière d’Himmler, créant son élite aryenne tout aussi pure idéologiquement pour gouverner son troisième Reich de mille ans. Leur homme à eux possède un h majuscule, non pas pour dire qu’ils mettent l’homme avant le reste, mais qu’ils le considèrent dans sa dimension collective celle de l’Humanité et non celle de l’individu, ainsi qu’il l’apparaît ici : «  Le FSL a vocation à rassembler associations, syndicats (dont le syndicat de la magistrature)  et individus qui rejettent le système prédateur actuel et veulent commencer à construire ici et maintenant cet “autre monde possible“, solidaire, écologique, démocratique…où l’Homme, la Nature, le “vivre ensemble“ (re)trouvent leur place ! »

Nos néo-aryens contemporains mettent aussi en place insidieusement cet eugénisme social dans le but de le faire tendre vers un idéal déterminé. Une politique délibérément menée au service d’une société dans laquelle s’imposerait une future génération calibrée, obéissante où primerait la soumission de l’individu au collectif et à son arbitraire.

 Qui porte le projet collectiviste ?

Nos enfants sont-ils à l’abri face à l’arbitraire ? Voyons un peu qui touche à nos enfants, comment ils nous les arrachent pour des prétextes fallacieux et les coupent de tout contact familial. Voyons comment ils considèrent l’institution familiale, comment nombre d’entre eux militent pour faire de notre monde un cauchemar collectiviste.

Réalisons d’où vient cette menace et cherchons à comprendre les véritables motivations et idéologies de ceux qui agissent.

Comment se fait-il que ce soit ceux qui s’occupent de nos enfants, placés ou non, qui se prétendent éducateurs, qui partagent le plus ce projet collectiviste ? Coïncidence, encore une, ou projet subversif ?

L’enfant « confié » aux travailleurs sociaux, à la protection de l’enfance, à tort ou à raison, est un enfant sans avenir, un membre de leur lumpen proletariat – troupe de choc malléable à souhait. C’est aussi leur gagne-pain et un individu désindividualisé car toujours « élevé » en commun, incapable de se retrouver lui-même et qui devrait dire merci à ses gardiens.

L’enfant placé est ainsi redevable au collectif, à l’État, qu’il perçoive un héritage on le lui prendra pour payer sa dette. Si ses parents sont encore vivants, il devrait en faire son deuil car ils seront déclarés toxiques ou déficients mentaux, psy ou incapables d’assurer une « parentalité citoyenne ».

Les néo-aryens, néo-communistes sont animés de la même idéologie collectiviste, anti-individu, anti-famille, ils utilisent le même code couleur : fond blanc car ils se prennent pour l’élite sans tâche, la race ou la classe appelée à dominer, le noir représente leur combat contre la société actuelle qu’ils ne dominent pas encore complètement, et le rouge représente leur pacte idéologique en faveur d’une nouvelle société dont les bases sont rétrogrades. Ils entendent étendre leur empire idéologique au niveau local, national, puis fusionner mondialement pour imposer un même ordre social sans concurrence du moindre havre de liberté préservée. Ils parlent de forum social local, forum social national, forum social mondial.

Nous sommes en danger !

Évidemment si les mouvements collectivistes sont ici assimilés, c’est pour mettre en évidence leur fond commun en dehors des déclarations de principe et de la langue de bois. Si leurs idées ont causé des destruction, aucun des néo-mouvements n’a eu le temps de mettre en application son programme de destruction de l’individu et de la famille, sauf peut-être au Venezuela et dans les administrations de la protection de l’enfance.

Il n’est par contre pas question d’accuser tous les travailleurs sociaux de visées totalitaires. Par contre, le constat de l’engagement massif de ces professions dans de tels mouvements est un secret de polichinelle, celui-ci s’explique par l’absence de scrupule des collectivistes à porter atteinte aux familles et au principe de subsidiarité sur lequel ils crachent bien volontiers. En effet, les plus durs face aux familles sont bien souvent les plus politisés.

Le CEDIF a vocation à alerter face à la dérive des services sociaux, au-delà de la défense des familles, le terrain gagné tous les jours par les tenants du contrôle social exprimant la voix légale de la contestation nous inquiète tout particulièrement. Nous inquiète plus encore à l’heure où il est question de donner à ces mêmes services le pouvoir de faire adopter des enfants par des rapports assassins.

Habiba et Xavier

Sauvez vos enfants

Cher Madame, Chère Monsieur,

Avez-vous déjà lu le magazine du Conseil Général du Cher ? Avez-vous remarqué que l’on y parle souvent de la famille, que la dernière parution contenait un prospectus avec un numéro d’appel pour le fil ? Savez-vous ce que c’est ? Vous pensez sans doute en le lisant qu’il s’agit d’une simple aide ponctuelle pour les parents débordés par leurs responsabilités.

Eh bien, pas du tout !

Le fil permet de répertorier plus de « familles à problèmes » pour lesquelles des interventions d’assistantes sociales pourront aller jusqu’au placement des enfants en foyer. Donc, il s’agit là d’une façon de se rabattre des usagers pour créer des postes, des emplois, pour séparer des familles, produire des larmes et du malheur.

Révoltant non ? Pourtant ce n’est que l’arbre qui cache la forêt.

Savez-vous Monsieur, Madame, que les services du Conseil Général recueillent tous les jours des dénonciations dont une bonne partie sont malveillantes notamment suite à des règlements de compte familiaux (grands-parents en conflits avec leurs enfants, couples séparés, divorcés) ou de toute autre nature (voisins envieux, collègues hypocrites), suite encore à des mouvements d’humeur d’adolescents. Que ces services ne sont pas capables de distinguer les véritables abus, maltraitances, des signalements malveillants.

Savez-vous, Monsieur, Madame, qu’alors que vous lisez ce texte des enfants martyrs sont ignorés des services sociaux, leurs bourreaux sachant déménager au bon moment. Mais que d’autres enfants sont placés sans justification dans ces centres d’apprentissage de la délinquance que sont les foyers (selon le Fil d’Ariane, un placement sur deux serait injustifiés).

Oui vous avez bien lu, un placement sur deux n’est pas justifié. Ce qui veut dire qu’un enfant sur deux aurait dû être remis à sa famille ou encore ne jamais lui avoir été enlevé. Imaginez vous ce que doit ressentir un enfant arraché à sa famille à la sortie de l’école, emmené par des éducateurs pour être conduit dans un lieu froid et hostile comme un foyer.

Imaginez la peur de votre fils ou de votre fille séparé de vous, en face d’adolescents en proie à des crises de fureur, l’imaginez vous éventuellement violenté, racketté ? Pensez un peu à ces mères, à ces pères qui ne peuvent parler sans témoin à leur enfant, que ce soit au téléphone ou dans des parloirs à l’occasion de ce que les services sociaux appellent des visites médiatisées. A l’humiliation de passer pour maltraitants devant un juge des enfants, à vous faire insulter, calomnier par des éducateurs, des avocats, des magistrats.

Mais ce n’est pas possible, vous pensez cela n’arrive pas par hasard. Vous pensez que cela ne peut pas vous arriver à vous. Vous pensez être garantis contre un arbitraire qui pourrait briser votre famille. Nous le pensions tous et pourtant.

Il suffit qu’une assistante sociale de secteur fasse un signalement sur dénonciation de quelqu’un qui vous veut du mal, ou encore qu’elle se saisisse elle-même en considérant que votre enfant n’est pas comme les autres, qu’il n’aime pas le football ou le rap, qu’il soit un peu trop élitiste, mieux éduqué, pas assez dans le moule, politiquement incorrect, que sais je…. Il suffit en fait de rien du tout pour que le cauchemar commence.

Mais il y a des garanties pensez-vous, le Conseil Général doit au moins faire une enquête sociale si les faits signalés restent anodins.

Ah oui bien sûr, il existe une procédure à suivre qui est censée garantir contre les bavures. Mais, et je suis sûr que vous ne le saviez pas, rien n’oblige les Conseils Généraux à suivre ces procédures.

En effet le Tribunal Administratif d’Orléans, pour ne citer qu’un seul exemple parmi tant d’autres, a reconnu dernièrement la validité d’un signalement au procureur sans la moindre enquête sociale. Qu’est ce que cela veut dire ?

Tout simplement que sans le moindre élément, sans la moindre enquête vous pouvez perdre votre enfant tout en étant un parent modèle, et cela nous sommes bien placés pour le savoir.

Vous ne nous croyez-pas ? Alors appelez le fil et vous verrez ?

Mais pourquoi feraient-ils cela ?

L’enlèvement des enfants par ce qu’il convient d’appeler les sévices sociaux permet de créer des emplois d’éducateurs, d’assistances sociales, de faire du chiffre qui justifie l’attribution de budgets plus importants, la non-réduction d’effectifs pléthoriques, voire la création de nouveaux postes. Il permet également de participer à la déresponsabilisation de la famille, une institution haïe car jugée bourgeoise par les professionnels très orientés de l’aide à l’enfance.

Alors jetez le fil et écoutez plutôt nos histoires de parents maltraités par les sé(r)vices sociaux.

Ce que nous avons à vous apprendre est édifiant…

Xavier Collet

Un extrait du reportage « Jamais sans ma mère » diffusé par France 2 (Envoyé Spécial du 7 juin 2007)

[http://www.dailymotion.com/swf/video/x41akp?autoPlay=0]

Près de 136 000 enfants sont actuellement placés dans des foyers ou des familles d’accueil, séparés de leurs parents. Contrairement à ce que l’on imagine, les enfants battus ou ceux victimes d’abus sexuels ne représentent qu’une petite partie des enfants placés, à peine 20 %. Ainsi que le reconnait l’inspecteur général des affaires sociales, la moitié (68 000) des placements d’enfants en institutions ou en familles d’accueil pourrait être évité. En d’autres termes, 68 000 drames familiaux pourraient être évités !

Commentaires (6)

1. SOS Parents Abusés – Le 20/01/2011 à 00:06

Méthode digne de la seconde guerre mondial, ou la dénonciation de son voisin était un geste citoyen, et ou l’on fichais sur des listes le soit disant paria, comme j’ai coutume a le dire, plus de 70 ans on passé et rien n’a changé.

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2. SIRIEIX – Le 20/01/2011 à 08:09

L’article cite le fil, conseil général du Cher. Question dénonciation on peut ratisser plus large encore, au niveau national. Personnellement, j’ai signalé des enfants en danger du fait de l’assistante maternelle de placement, à l’ONED, au 119. Personne n’a bougé le petit doigt, et pour cause, mes signalements ont attéris directement sur les bureaux du Conseil Général ! Le maltraitant non secourant prévenu des signalements par des rabatteurs ! petite soupe en famille, on mixe les enfants et on les avale tout crus… J’affirme que le 119 et l’oned est de collusion avec les services sociaux pour « dénicher » de l’argent public et non pas pour secourir des familles ou des enfants en danger. Et que l’on vienne me prouver le contraire, je ne souhaite que cela CQFD

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3. CEDIF – Le 20/01/2011 à 21:09

Oui Sirieix, ce que vous dites ne nous étonnes pas et il faut déballer leurs agissements au grand public, le dernier numéro du jouornal du Conseil Général du Cher consacre un dossier rien que sur le « fil ». Le contenu est édifiant, je prendrai le temps de vous en faire part.

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4. ANONYME – Le 20/01/2011 à 22:18

Le 119 confie les signalements aux services sociaux

Aucun sérieux, une magouille qui brise les familles et détruit les enfants

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5. Daniel – Le 21/01/2011 à 09:24

« la dénonciation serais un devoir républicain » ?

Quel différence entre « délation » et « dénonciation »… cela peut vous rappeler une autre époque… peut être? 1940…

« Si la délation est condamnable car se faisant au détriment de gens honnêtes, la dénonciation serai devoir républicain prévu dans la loi et permettant de lutter contre les délinquants ». BRAVO !!

La grande Guerre permis l’envoi de trois millions de lettres de délation entre 1940 et 1945, en zone occupée comme en zone non occupée, aux services de l’armée allemande. ET AUJOURD’HUI ON NOUS PARLE DE DEVOIR ?? RIEN N’A CHANGE, LES FRANÇAIS ON DÉJÀ OUBLIE.

Chaque année 140000 enfants déportés de leurs familles et placés a l’ASE, grâce au devoir citoyen.

Je ne cautionnerais JAMAIS CES METHODES !!!

Il y a d’autre solution, mais faut il le vouloir.

Je suis contre tout genre de maltraitance, parental et institutionnel, mais comme dans tout, l’abus guette, sous prétexte d’honnêteté, ou chacun veux ce faire bonne conscience, ou désir juste de vengeance ??

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6. ONG: » SAUVONS LES ENFANTS PLACéS MALTRAITéS ! – Le 21/01/2011 à 10:19

Il FAUT une Révolution des Gamins,des Placés,un Nuremberg des ASE-Gestapètes.75 000 enfants RAFLéS en France en 2011,,qui le sait? qui le dénonce??Etat Térorist abject.

Fran Bré du Cantal http://KANTAL.over-blog.com

Dernière mise à jour de cette page le 28/01/2011