Honteux du sévice public

Le syndicat FSU a lancé une campagne intitulée « fiers du service public » (sic). Oui, fiers de l’entité étatique, il fallait oser !

On y trouve donc une brochure dont le crétinisme est assez atterant de propagande étatiste. Mais le pire vient encore du site consacré dont le contenu est profondément choquant.

Les parents victime d’un placement abusif de leurs enfants et tous ceux qui connaissant la problématiques des interventions de l’ASE devraient faire une petite visite à ce site.
Sur cette page vous trouverez une « gentille organisatrice » de camp de vacances que l’on appelle un foyer. Elle s’y exprime, très fière et surtout contente, épanouit par son travail. Elle pense réussir à merveille l’éducation de nos enfants placés. Pourtant beaucoup finiront clochards, une belle vision d’une réussite sociale non compétitive à la sauce Hessel.

À la suite de contributions que le site demande auprès de ceux qui sont fiers des sévices public, un livre va être écrit sous la direction de nos joyeux syndicalistes et sous la préface de Stéphane Hessel.
Mais oui Stéphane Hessel, vous le connaissez bien maintenant, le nouveau Guevara des maisons de retraites, l’icône en pantoufle des  “Indignés”, ces pseudo révolutionnaires qui veulent tout le pouvoir pour les sévices publics et dont certains vous ont fait croire qu’ils étaient de votre côtés, quelle farce !

Au moins c’est clair maintenant, vous savez pour qui ils roulent !

Apparemment les commentaires ne sont pas filtrés, pas encore du moins, voici le mien sur la page d’Hessel et je vous encourage à vous y exprimer :

Fiers de quoi ?

De ces travailleurs sociaux qui enlèvent des enfants à des familles qui n’ont rien à se reprocher ?

De ces foyers de l’enfance où des gamins ont pour principaux débouchés la carrière de clochards ?

De ces assistantes sociales qui voient la famille comme une institution aliénante et qui parlent aux parents comme on s’adresse à des chiens ?

De ces fonctionnaires qui se disent détenteurs de l’autorité publique et qui font des rapports, qui fliquent, qui dénoncent ?

Vous êtes fiers de cela et des privilèges de la fonction publiques, des primes, des retraites, des coûts 30 % plus élevés pour le contribuables des   écoles publiques par rapport aux écoles privées ? De ce que nous a coûté pendant des années France Télécom alors qu’aujourd’hui les communications locales sont gratuites ? Vous êtes fiers de votre inefficacité, quelquefois de vos nuisances, de cette tutelle dans laquelle vous entendez placer vos « usagers » ?
Vous êtes fier aussi peut-être des pétitions de vos syndicats d’éducateurs qui demandent à ce que plus de placements soient réalisés, plus de malheur pour les familles dont une bonne partie ne sont pas les maltraitantes que vous aimeriez faire croire.

Voila Stéphane Hessel tes indignés ! Indignés de ce que nous puissions encore exprimer la voix de ceux dont les media ne parlent alors qu’il n’y en a que pour vous !

Vous me faites honte, très profondément honte.

Xavier Collet

La travailleuse sociale est une tueuse

Tueuse et travailleuse sociale

Marina Petrella, profession terroriste 

Marina Petrella est une activiste des Brigades Rouges. En 1981 à Rome, elle tue un    commissaire de police et blesse grièvement son chauffeur. Elle participera à plusieurs attentats meurtriers particulièrement sanglants, réalisera des vols à main armée et participera à l’enlèvement et à la séquestration d’un magistrat.

Pour ces crimes, elle est condamnée en Italie en 1992 à la réclusion à perpétuité.

Réfugiée en France

Mitterrand fait de la France un refuge pour les tueurs des Brigades Rouges, Marina Petrella peut donc s’y installer et y « vivre au grand jour » en obtenant l’asile politique en 1993.

Marina Petrella a pu passer des diplômes grâce au titre de séjour délivré par l’Etat français.

Marina Petrella, profession terroriste et travailleuse sociale

Elle est devenue travailleuse sociale dans un centre social d’Epinay-sur-Seine, au CCAS de Saint-Leu-la-Forêt puis dans une agence immobilière à caractère social. Elle est intervenue  dans ses fonctions auprès de conseils généraux.

Installée depuis des années à Argenteuil, elle y sera arrêtée le 21 août 2007, sous le coup d’arrêts d’extradition des terroristes brigadistes, suite à un contrôle routier au commissariat d’Argenteuil. Elle est incarcérée à la maison d’arrêt de Fresnes et prétend souffrir d’une dépression nerveuse qui la fera placer en hôpital psychiatrique.

La bonne aubaine, des collectifs de soutien demandent alors l’application immédiate de la clause humanitaire prévue dans les textes régissant l’extradition depuis 1957.

Quelle clause humanitaire pour des familles privées de leurs proches par les balles de Petrella et de sa clique, ou encore pour des familles privées de leurs enfants sans véritable justification suite à des enquêtes sociales à mourir de rire … ou de honte ?

Au grand dam de l’opinion publique italienne, gauche et droite confondues, des personnalités françaises se mobilisent dans ces collectifs : Jean-Jacques de Félice, Stéphane Hessel, Albert Jacquard, Jean Lacouture, Edgar Morin, Patrick Braouezec, Michel Tubiana, Nicole Borvo, Clémentine Autain, Noël Mamère, Fred Vargas, Dominique Voynet, Danielle Mitterrand…,

Elle échappe à la justice « pour raisons de santé mentale »

Marina Petrella « a exercé un chantage auquel il a fallu céder alors qu’elle refuse de répondre de ses actes en Italie, pays disposant d’une justice tout aussi démocratique que la France », estime Françoise Rudetzki . « Pour ne pas en faire une martyre, au nom de la clause humanitaire, elle ne sera pas extradée. Les familles des 413 morts et les milliers de blessés au-delà des Alpes entre les années 1970 et 1980 apprécieront« , ajoute la fondatrice de SOS Attentats, association aujourd’hui dissoute.

Pourquoi cette affaire nous intéresse ?

Pour la justice d’abord, mais aussi parce que cette terroriste a été soutenue par :

–         le syndicat de la magistrature http://www.syndicat-magistrature.org/Soutien-a-Marina-Petrella.html

–         la FSU http://www.snuasfp-fsu.org/SOUTIEN-A-MARINA-PETRELLA

Par ce que certains travailleurs sociaux continuent la lutte politique sous d’autres formes pour tuer moralement. Ils enquêtent sur des familles et prennent des décisions sur des motifs politiques : familles qui refusent « l’autocritique », étiquetées élitistes, sources de pression scolaire ou de maltraitance psychologique, selon des assistantes sociales orientées.

En effet, beaucoup de celles-ci, ainsi que les éducateurs sont membres du syndicat FSU, proche de l’idéologie communiste. Ces personnes ont des fonctions d’instruction judiciaire et sont suivies en leurs rapports par les magistrats.

Il ne s’agit pas de dire que tous les travailleurs sociaux pratiquent l’enquête sociale comme un terrorisme, mais l’écrasant soutien dont a bénéficié Marina Petrella dans ce milieu est inquiétant.

Il importe donc de dénoncer certains de ces travailleurs sociaux sur des faits très précis de procès de Moscou et mettre en évidence la politisation de cette profession et son biais anti-familial à travers l’affaire Petrella.

Concernant plus particulièrement Marina Petrella, nous considérons aussi nécessaire de revoir les dossiers dans lesquels elle aurait pu intervenir..