Les antifamilialistes à l’assaut du pouvoir


En cette période d’exacerbation des tensions politiques, bien des qualificatifs justifiés peuvent s’appliquer à ce conglomérat dit « Nouveau Front Populaire » qui investit des candidats d’extrême-gauche.

L’extrême-gauche à la sauce La France Soumise au Tout État (dite LFI) est antilibérale, collectiviste, prompt à remettre en cause dans ses manifestations le principe démocratique, elle admire les meurtriers de masse tels Robespierre, Lénine, Guévara, elle attise les braises du communautarisme en France. 

Mais pour être complet, les commentateurs ont oublié de dire qu’elle est antifamilialiste.

Etre antifamilialiste c’est considérer que la famille n’est pas la première institution dans laquelle l’enfant doit être éduqué ; c’est considérer que la famille est aliénante, a priori dangereuse, que l’enfant doit être arraché à ses déterminismes familiaux. Cette tare idéologique est largement partagée dans le milieu des sociaux, lesquels poussent à l’élaboration de lois mettant l’institution parentale en cause, la considérant comme le milieu de « violences éducatives ».  

Ce sont ces antifamilialistes qui ont l’oreille du gouvernement et leur porte-parole est le chouchou des médias mainstream, il s’appelle Lyès Louffok.

Ce personnage s’en est pris aux familles victimes de placements abusifs et nie la réalité même de ces placements abusifs. Il va encore plus loin en s’en prenant aux journalistes qui osent accorder la parole aux parents victimes dans une interview au Nouvel Observateur ) : « La réalité, c’est que, bien souvent, on retrouve les collectifs de parents victimes de placements abusifs dans les sphères complotistes, antivax, antisystème en général (…)  Ce qui est choquant, c’est de constater que les journalistes accordent plus de crédits à la parole de parents traumatisés qu’à une situation dont ils ne connaissent rien (…) L’emballement médiatique de cette histoire me désole et me sidère à la fois (…) ce qui me questionne, c’est l’absence de recul et de prudence journalistique  (…) Tous les médias ont cité des éléments de cette ordonnance de placement, pas un n’a expliqué le fond de cette décision. Il n’y a pas d’imbroglio judiciaire encore moins de confusion des autorités autour d’une décision de placement provisoire décidée, je le rappelle, par le parquet».

On ne s’étonnera donc pas que Lyès Louffok, qui n’est pourtant pas le couteau le plus aiguisé du tiroir, se présente aux Législatives sous les couleurs du «Nouveau Front Populaire ».

Alors que désormais, nul n’est à l’abri de se faire enlever et placer ses enfants chez les sociaux, aucun parent ne saurait en toute connaissance de cause voter pour ces listes et pire encore pour Louffok, son élection sera une insulte supplémentaire du « système » (puisqu’il critique les antisystème) aux familles.

L’ANTIFA MILIALISME NE PASSERA PAS

Une réflexion au sujet de « Les antifamilialistes à l’assaut du pouvoir »

  1. Je n’aurais jamais imaginé qu’on puisse prendre ainsi le parti de ceux que nos familles ont combattu au péril de leurs vies, dénoncés par des êtres abjectes qui participaient ainsi à l’exterminationt des enfants (y compris bébés), femmes, homosexuels, personnes handicapés, juifs, etc.. etc.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.