Le prix des larmes


Mon fils, ma fille ne sont plus là, il, elle, ils m’ont été enlevés pour être mis dans un foyer ou sa garde en a été transférée.

Bien fait penseront certain, certes des parents indignes cela existe, mais vous, vous n’avez rien à vous reprocher si ce n’est d’avoir fait un moment confiance à ceux qui vous ont pris vos enfants qu’il s’agisse des sévices sociaux ou de dénonciateurs qui réglaient leur compte.

Alors vous voulez convaincre que vous n’avez rien fait de mal, vous n’espérez rien de plus.

On ne retiendra de votre message que vous n’avez plus vos enfants. Oui c’est bien triste, vous n’avez peut-être rien fait pour cela mais vous êtes victimes d’une fatalité institutionnelle, en y réfléchissant un peu plus on se dira qu’il n’y a pas de fumée sans feu.

Tel l’aveugle qui fait la manche en demandant quelques sous, on vous accordera une attention rapide sous forme d’une pitié valant quelques piécettes.

Votre message n’est pas compris, il est vite passé sur internet, on a lu votre mail, votre site, on vous a croisé rapidement sans chercher plus loin. Comment pourriez vous avoir raison contre des avocats, des juges, des sévices sociaux qui ont décidé de ce qu’il convenait ? Vous êtes fou, folle, parano, vous ne voulez pas reconnaître vos torts.

Mais maintenant au lieu de dire « je suis aveugle », j’ai perdu mes enfants comme j’ai perdu mes yeux, transformez votre message comme le fait cette passante de la video, écrivez « quelle belle journée, dommage que je ne puisse la voir ».

Cette journée est belle oui, tous les passants le constatent, et ils peuvent s’imaginer facilement comme ils souffriraient de ne pas le voir en étant aveugles.

Les voila au centre du message, vous ne parlez pas seulement de vous, vous parlez d’eux , vous suscitez leur empathie :
CE QUI VOUS EST ARRIVÉ À VOUS POURRAIT LEUR ARRIVER AUSSI !

Ce message est parole de vérité, et cette vérité le CEDIF vous l’apporte car nous vous donnons le logiciel qui permet de comprendre l’intérêt de ceux qui portent atteinte aux familles, nous vous expliquons les ressorts des rapts institutionnalisés d’enfants.

Vous qui me lisez vous êtes peut être les meilleurs parents dont l’on puisse rêver et vos enfants sont la prunelle de vos yeux, votre amour vous rend vulnérable et la pire chose qu’on puisse vous infliger c’est de prendre vos enfants pour les priver de tout avenir.

Ne croyez vous pas que ceux qui vous veulent du mal aimeraient qu’une telle chose vous arrive à vous et à vos enfants ? Ne pensez vous pas qu’ils trouveront des complices parmi ceux qui vivent des sévices sociaux ? Après tout à chaque époque ses bouc-émissaires, il suffisait il n’y a pas si longtemps d’accuser son voisin de se livrer au marché noir pour qu’il disparaisse.

Maintenant supposons que nous ayons attiré votre attention, voila que vous nous laissez des témoignages de votre solidarité. Si nous avons su vous parler ce langage de vérité vous le ferez.

Puis vous nous direz, à quoi cela sert de conscientiser, nous sommes le pot de terre contre le pot de fer. Votre colère vous donnera ce sentiment fallacieux d’inutilité.

Fallacieux car rien n’est plus faux que le sentiment d’inutilité, le message devient action et là encore l’action doit être bien orientée.

Vous avez alors passé le stade du passant en empathie ou du clochard suscitant cette charité empathique que l’on appelle solidarité.

Votre message devient le nôtre, il est action, de celle qui soulève les montagnes en désignant des objectifs, en élaborant des stratégies.

La colère surmontée l’action devient déterminée, vous dénoncez une logique dont vous avez compris les ressorts, cette logique à l’œuvre dont la finalité est l’écrasement de l’institution familiale, l’élimination des « parents mal calibrés ». Fort de cette conviction vos aspirations deviennent politiques au sens le plus noble du terme et là les comptes que vous demandez tous les comprendront et en premier lieu nos ennemis.

À ce moment là notre bras s’abattra pour briser définitivement la logique du tout État, du social dévoyé contre les prérogatives inaliénables (et pourtant aliénées) des individus et des familles.

À ce moment vous hurlerez vengeance et vous avez le droit à cette vengeance car vous êtes sains alors que ceux qui vous ont touché sont des pourritures.

Vous exposerez l’iniquité des méchants et ceux qui doutaient encore sauront

Cela prendra du temps, nécessitera certainement de nouvelles souffrances et des larmes. Mais l’issue de notre combat ne fait pas de doute si  vous savez vous aussi toucher le cœur des hommes, des femmes, des familles.

Ayez l’espoir, ne doutez jamais, rejoignez nous, la pire insulte que vous vous faîtes c’est de penser que vous souffrez en vain.

11 réflexions au sujet de « Le prix des larmes »

  1. Les « sévices » sociaux sont des menteurs,manipulent nos enfants pour en faire des transferts forcés d’enfant soit chez l’autre parent ‘déchu de ses droits parentaux’ conformément à la loi française mais pas appliquée car violée bien sûr soit en famille d’accueil ou foyers.
    Pour cela,ils s’acharnent,vous appauvrissent,vous jugent,vous convoquent pendant votre temps de travail ou ‘congés’,ameutent votre famille,vous font perdre votre emploi pour vous exclure de la société et pire,s’investisse auprès de la Caisse d’ALLOCATIONS FAMILIALES afin que vos droits PRIMAIRES et OBLIGATOIRES NE SOIENT PAS RESPECTES,puis ils vous trouvent certains troubles psychiatriques – évidemment et un jour vos enfants disparaissent et vous ne savez plus rien d’eux durant des mois…ANNEES, vous ne les voyez plus grandir.
    Des enfants n’ont plus besoin d’un seul coup de leur MAMAN (ou PAPA) !!!!
    Brigitte.

    1. Tout à fait vrai Brigitte, cela vous est arrivé et cela arrivera à d’autres encore, il faut aussi que nous expliquions comment réagir à ces agressions manifestes.

  2. Par je ne sais quel miracle j’ai réussi à sortir mes enfants de leurs griffes, ils en sont sortis, comme je l’espérais, plus forts, moins naïfs, moi aussi. ne reste qu’une incertitude sourde de l’avenir que j’arrive à leur taire, j’y réussi puisque mes garçons sont à nouveau épanouis et heureux. Cette voix au fond de moi-même m’avertit sans trêve que l’institution n’attend que de détruire à nouveau le bonheur simple qui lie des enfants à une mère, à un père (Qu’y z’y viennent !), ils nous ont traités comme des boites d’emballage, bonnes à jeter. J’accuse la caf d’être leur complice, aucun contrôle sur l’utilisation des prestations auxquelles mes petits ouvraient droit : c’est noté dans les rapports sociaux : « pas de loisirs, pas d’argent de poche », j’ajoute à ce joli tableau : pas de vêtement, pas de chaussure, pas de coiffeur, rien, le dénuement le plus complet. Ils ont été déchargés par la justice de notre dossier et c’est tant mieux, mais je demande des comptes à présent, où sont passés les 120 euros, allocations familiales mensuelles sensées être à mes enfants ? deux ans et demi qu’ils les ont perçues et empochées sans en reverser un centime aux ayants-droits…Suis-je sotte ! Aux bonnes œuvres des sévices sociaux sans doute ! Oui l’appauvrissement est un de leur levier, l’isolement aussi, après ils ont beau jeu de parler de difficultés matérielles et de grand isolement social pour garder nos petits.. Il y en a de bons dans le lot, ce ne sont que des exceptions à la règle, les autres, la majorité ne sont que des fonctionnaires bêtes à pleurer, formatés à une règle indigne qui rappelle les pires heures de notre histoire, celles où la délation et le mensonge valaient 40 deniers, j’ai mal pour l’humanité, j’ai honte d’être de chair et de sang et incapable de faire évoluer l’ordre mondial actuel.

    1. Merci de ce témoignage et n’hésitez à nous tenir au courant des réponses à votre demande au sujet des allocations envolées.
      Cet ordre doit changer, de plus en plus de contrôles au nom de la protection et de plus en plus de prérogatives d’obscurs fonctionnaires sur notre vie.
      Il faut que recule le pouvoir de l’Etat pour que nous puissions décider nous mêmes de gérer nos familles et nos vies.

    2. chere madame;je susi de tout coeur avec vous;je vis axacteemnt ce qu’on vécue ces personnes.j’aimerasi comprendre comment avez vous faitt exacteemnt pour sortir des griffes de ces pervers?Cen’est pas a vous d’avoir honte masi a eux;moi qui suis pratiquante catholique;je epux vous certifier que nous avons affaire a des satanistes et que la solution c’est d eprier Jessu christ.J’en susi arrivée la ou j’en susi car d’une part ily a des satanistes;d’autres part je em ssui eloignée de la protection du Bon dieu.Meme s’il y a des satanistes(francs maçons dans le pouvoir;l’eglise déguisé en pretre);Dieu est bon ;il faut pratiquer a fond en suivant les paroles de commandement du Christ et les sacrements!j’ai des arguments.PRions les uns pour les autres ;convertissons nous le plsu possible et on aura la peau de ces pervers qui cesseront de detruitre les enfants! de toute façon ça va bientot peter ;leBon dieu va y mettre de l’ordre aprés(je crois aux prophéties des apparitions mariales) et en plus les services sociaux vont fermer la boutique puisqu’ils sont en grave déficit!
      cordialeemnt;
      C.christine

  3. La victime première est l’enfant, les services sociaux les premiers à les utiliser comme outils de travail rentables. L’enfant victime est leur gagne-pain, pourquoi essayeraient-ils de les sauver ? Plus ils placent les enfants, plus leur avenir est garanti. Plus les enfants sont retirés de leurs familles, plus ils y aura d’enfants manipulables à volonté par les pouvoirs qui dirigent.
    Maman victime de l’enlèvement de son garçon par abus de pouvoir des services sociaux et des juges, je me rends compte que mon fils n’est devenu que l’objet de convoitise des services sociaux qui vivent grâce à « lui » : enfants parmi les autres enfants enlevés.

  4. Suite de mon commentaire du 21 mai, j’ai demandé au préfet de mon département de diligenter une enquête à propos de l’utilisation par l’ase des allocations familiales, à ce jour, aucune réponse.
    Autre scandale : la cmu, nos enfants y sont systématiquement affiliés par l’ase, dès lors qu’ils y sont placés. Or, les ressources (6 000 euros par enfant placés et par mois) de l’ase ne justifient pas de l’ouverture de ce droit. Dernièrement, j’ai déposé un recours, de nouveau devant le préfet de région, j’attends une réponse… l’ase et le conseil général, emploient des sociétés privées rémunérées par la sécurité sociale au titre de la cmu, manne financière pour corporatistes comme les taxis, les ambulances, largement sollicités pour des contrats plus que juteux, à titre d’exemple, trois transports en taxi (pour une petite centaine de kms) ont rapporté à la société prestataire :
    1 476.34 euros, c’est le prix d’un voyage aller retour en indonésie en avion… et la sécu via cmu a payé.

  5. Vous ne parlez pas du rôle insidieux des écoles, des enseignants et pourtant ils sont là et bien là dans l’ombre des drames familiaux dus aux placements.Depuis la rentrée scolaire 3 enfants ont été retiré à leur mère(3 mamans seules) de 3 écoles différentes mais voisines.Cota ou pas, on les croise errant devant l’école et ça fait mal…oui ces écoles dont on a peur, dans une toute puissance infinie…
    Oui des enseignants complices de ces rapts d’enfants, calomniateurs, dénonciateurs ,menteurs et j’en passe….
    Les parents ont peur et s’accordent à dire « ben oui mais elle l’a cherché »!
    Rangé du coté ennemis, ils pensent être à l’abris….Car l’école aussi n’est pas une amie…

    1. Justement nous allons insister sur le rôle des écoles et sur certaines infirmières ou assistantes sociales émargeant à l »éducation nationale et ne faisant pas leur travail convenablement, vous pouvez bien sûr nous donner des exemples. Nous avons lancé dernièrement une campagne des parents dans les écoles, nous avons eu un écho positif, sauf de la part de la FCPE (il parait que c’est une association de parents d’élèves, enfin c’est ce qu’ils prétendent).

      Au fait je suis moi-même enseignant et je n’hésite pas à dénoncer si cela est nécessaire, notamment des comportements aberrants sous couvert de syndicalisme. Ceci m’a valu un article dans un journal régional nauséabond sous un sous-titre : « le prof qui n’aime pas les autres profs », vu la provenance de l’article j’en fais un titre de gloire.

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