La question de l’objection de conscience doit être posée quand la conservation de nos libertés individuelles et le principe de subsidiarité sont remis en cause par des lois, des ordres, consacrant la prééminence de l’État sur l’individu, sur les familles.
Présentation de l’ouvrage
Nous serons tous, un jour ou l’autre, confrontés à un cas de conscience. Que faire ? Doit-on, quoi qu’il arrive, respecter une loi même inique, obéir à ses supérieurs quoi qu’ils vous commandent, au risque de transgresser les valeurs auxquelles nous sommes le plus attachés ? Ou bien doit-on désobéir ?
Inversement, chacun peut-il se faire juge de la loi ou des ordres qu’il reçoit, et décider de les appliquer ou non à son gré, sans que la société ne sombre dans l’anarchie ? L’Etat peut-il légiférer sur l’objection de conscience, voire en faire « un droit », sans menacer ses propres fondements ?
Quand tous les autres moyens ont échoué, pourquoi l’objection de conscience demeure-t-elle l’ultime voie de résistance au mal ?
L’auteur du livre : François de Lacoste Lareymondie
Marié et père de famille, ancien élève de Sciences Po et de l’ENA, il fut d’abord officier de la Marine, puis administrateur civil avant d’être rapporteur au Conseil d’État. Il est ensuite entré dans le groupe bancaire CIC dont il est devenu le secrétaire général. Il est aujourd’hui membre du directoire du Fonds de Garantie des Dépôts. Il a été élu local pendant vingt ans. Il est vice-président de l’Association pour la Fondation de Service politique et vient de publier Je refuse ! L’objection de conscience, ultime résistance au mal aux Editions de l’Emmanuel.
Pour commander l’ouvrage : http://www.librairie-emmanuel.fr/t_livre/je-refuse-francois-de-lacoste-lareymondie-9782353891542-lobjection-de-conscience-ultime-resistance-a.asp
Evidemment pour ceux qui n’auraient pas compris, cette lecture est conseillée 😉