Marina Petrella, profession terroriste
Marina Petrella est une activiste des Brigades Rouges. En 1981 à Rome, elle tue un commissaire de police et blesse grièvement son chauffeur. Elle participera à plusieurs attentats meurtriers particulièrement sanglants, réalisera des vols à main armée et participera à l’enlèvement et à la séquestration d’un magistrat.
Pour ces crimes, elle est condamnée en Italie en 1992 à la réclusion à perpétuité.
Réfugiée en France
Mitterrand fait de la France un refuge pour les tueurs des Brigades Rouges, Marina Petrella peut donc s’y installer et y « vivre au grand jour » en obtenant l’asile politique en 1993.
Marina Petrella a pu passer des diplômes grâce au titre de séjour délivré par l’Etat français.
Marina Petrella, profession terroriste et travailleuse sociale
Elle est devenue travailleuse sociale dans un centre social d’Epinay-sur-Seine, au CCAS de Saint-Leu-la-Forêt puis dans une agence immobilière à caractère social. Elle est intervenue dans ses fonctions auprès de conseils généraux.
Installée depuis des années à Argenteuil, elle y sera arrêtée le 21 août 2007, sous le coup d’arrêts d’extradition des terroristes brigadistes, suite à un contrôle routier au commissariat d’Argenteuil. Elle est incarcérée à la maison d’arrêt de Fresnes et prétend souffrir d’une dépression nerveuse qui la fera placer en hôpital psychiatrique.
La bonne aubaine, des collectifs de soutien demandent alors l’application immédiate de la clause humanitaire prévue dans les textes régissant l’extradition depuis 1957.
Quelle clause humanitaire pour des familles privées de leurs proches par les balles de Petrella et de sa clique, ou encore pour des familles privées de leurs enfants sans véritable justification suite à des enquêtes sociales à mourir de rire … ou de honte ?
Au grand dam de l’opinion publique italienne, gauche et droite confondues, des personnalités françaises se mobilisent dans ces collectifs : Jean-Jacques de Félice, Stéphane Hessel, Albert Jacquard, Jean Lacouture, Edgar Morin, Patrick Braouezec, Michel Tubiana, Nicole Borvo, Clémentine Autain, Noël Mamère, Fred Vargas, Dominique Voynet, Danielle Mitterrand…,
Elle échappe à la justice « pour raisons de santé mentale »
Marina Petrella « a exercé un chantage auquel il a fallu céder alors qu’elle refuse de répondre de ses actes en Italie, pays disposant d’une justice tout aussi démocratique que la France », estime Françoise Rudetzki . « Pour ne pas en faire une martyre, au nom de la clause humanitaire, elle ne sera pas extradée. Les familles des 413 morts et les milliers de blessés au-delà des Alpes entre les années 1970 et 1980 apprécieront« , ajoute la fondatrice de SOS Attentats, association aujourd’hui dissoute.
Pourquoi cette affaire nous intéresse ?
Pour la justice d’abord, mais aussi parce que cette terroriste a été soutenue par :
– le syndicat de la magistrature http://www.syndicat-magistrature.org/Soutien-a-Marina-Petrella.html
– la FSU http://www.snuasfp-fsu.org/SOUTIEN-A-MARINA-PETRELLA
Par ce que certains travailleurs sociaux continuent la lutte politique sous d’autres formes pour tuer moralement. Ils enquêtent sur des familles et prennent des décisions sur des motifs politiques : familles qui refusent « l’autocritique », étiquetées élitistes, sources de pression scolaire ou de maltraitance psychologique, selon des assistantes sociales orientées.
En effet, beaucoup de celles-ci, ainsi que les éducateurs sont membres du syndicat FSU, proche de l’idéologie communiste. Ces personnes ont des fonctions d’instruction judiciaire et sont suivies en leurs rapports par les magistrats.
Il ne s’agit pas de dire que tous les travailleurs sociaux pratiquent l’enquête sociale comme un terrorisme, mais l’écrasant soutien dont a bénéficié Marina Petrella dans ce milieu est inquiétant.
Il importe donc de dénoncer certains de ces travailleurs sociaux sur des faits très précis de procès de Moscou et mettre en évidence la politisation de cette profession et son biais anti-familial à travers l’affaire Petrella.
Concernant plus particulièrement Marina Petrella, nous considérons aussi nécessaire de revoir les dossiers dans lesquels elle aurait pu intervenir..
T’as pas une tête de porte-bonheur disait Schwarzy au monstre de Predators 😉 J’en dirais de même à Petrella dans les mêmes circonstances.
eh bé ! encore une » suceuse de couilles au bal musette » !!!
quelle tronche ! mais quand tu vois les dégaines des TS , ouf ! çà fait peur !
Reblogged this on bisbille101 and commented:
Au Québec, les travailleuses sociales (TS) qui travaillent pour la Direction de protection de la jeunesse ne sont rien d’autre que des êtres déviants au service d’une forme créative de criminalité d’état. La plupart sont de dangereux psychopathes qui introduisent les enfants qu’ils kidnappent dans les familles dans les réseaux de prostitution juvénile