Faites un cadeau à vos enfants, placez les !


Si ton enfant tu veux garder, les sévices sociaux tu devras éviter.
Si ton enfant tu veux garder, les sévices sociaux tu devras éviter.

Voila un titre et slogan tout à fait scandaleux que l’on n’est pas prêt de trouver affiché noir sur blanc.

Pourtant si vous avez un problème d’autorité, si votre enfant sèche les cours, si votre couple connaît une crise, le placement serait un véritable cadeau pour vos enfants.

 Le placement à durée indéterminée bien entendu, les parents qui ont cru pouvoir confier leurs enfants dans des situations de détresse temporaire n’ont plus que leurs yeux pour pleurer.

Le Conseil général du Cher va vous réveiller les valeurs familiales

Si ce slogan n’est pas écrit de façon aussi crue, il correspond bien à l’esprit de cette tirade publiée dans le journal Chermagazine de novembre décembre 2013, c’est nous qui soulignons :

« Le Conseil général est très soucieux de la protection des mineurs. En cas de situation dangereuse ou fragilisée (absentéisme, conflits parentaux, soins non réalisés, problème d’autorité …) , les familles bénéficient de mesure d’Aide éducative à domicile (AED) et, s’il y a décision de justice, de mesures d’Assistance en milieu ouvert (AEMO). Ces mesures sont mises en ouvre par les services du Conseil général et l’AIDAPHI qui comprend 21 travailleurs sociaux qui suivent chacun 31 mineurs et interviennent sur les lieux de vie de l’enfant. Le but est d’obtenir l’adhésion des parents et des enfants pour construire un projet de vie, fixer des objectifs, réveiller les valeurs familiales et redonner sa place à chacun. »

Voila donc comment le Conseil général du Cher s’engage pour vous et vos enfants. Tout cela bien sûr à votre exclusif bénéfice et pour réveiller ces valeurs familiales que vous, pauvres parents, ne connaissez pas !

Rééducation à la parentalité

D’ailleurs la parentalité cela s’apprend. L’article est donc suivi d’un bref interview de Serge Méchin, conseiller général délégué à l’enfance, l’adolescence et la famille qui ose en rajouter en énonçant que :

« le suivi dans les familles, réalisé par les travailleurs sociaux, [qui] permet de valoriser les compétence des parents comme des enfants. »

Enquête exclusive du CEDIF pour l’Observatoire des Subventions

Drôle ? Non, tout cela est tragique car des parents y croient et viennent sonner à notre porte quelques mois après, au désespoir.

Serge Méchin parle aussi du Réseau d’écoute, d’appui et d’accompagnement des parents, de l’association Rivage, des structures destinées à enseigner la parentalité et qui trouvent leur place dans les Maisons de la Solidarité du Cher.

Maisons de la solidarité pour lesquelles le CEDIF a réalisé une enquête exclusive pour l’Observatoire des Subventions, parents, allez lire le résultat de cette enquête, c’est encore pire que ce que vous pouvez imaginer !

L’enquête du CEDIF sur les maisons de la solidarité

10 réflexions au sujet de « Faites un cadeau à vos enfants, placez les ! »

  1. Tant que la justice sera chapeauté par les conseils généraux, il n(y aira aucune avancée sociale et d »équité possible…

    Pour une véritable politique familiale en France, il faut que les juges et l’ASE soient sanctionnables et sanctionnés en droits..

    Il vous faut redonner au « justiciable » le respect qui lui est du..!

    La justice doit donner une belle image d’elle même, ainsi que redonner confiance au « justifiable »

    Je tiens juste a rappeler quand un juge viole « l’égalité des armes » ou d’entrée de jeu une partie « Notamment une institution nominée par l’état  » a un avantage évident sur la partie « institution familiale » est une faute en soi, de l’autorité judiciaire sur son obligation d’impartialité..

    Le caractère d’indépendance de la justice de ne doit détourner un magistrat des ses obligations envers un « justiciable »..

    Le conseil de l’Europe et le Comité des Ministres devraient se pencher sur le rôle des juges en Europe..

    a ) Un juge doit appliquer des règles de droits et non porter atteinte à la dignité de la personne, aucun être humain de doit être considéré comme un objet ou un moyen.

    b) La possibilité pour un justiciable de poursuivre un juge pour son manque d’impartialité, refus de « contradictoire » ou encore violation de « l’égalité des armes »

    c) Selon le principe de « l’état de droit » , l’état doit sanctionner un juge qui rejette les obligations nées des traités, la responsabilité de l’état est engagée car ceci relève du droit international entre autres la loi de Nations (projet de code de « droit international public »)….

    d) Selon les mécanismes des droits de l’homme, et démocratique, un Juge n’est pas plus souverain qu’un individu lambda, il faut donc reconnaitre une interdiction formelle a l »utilisation de la notion d’abus de droit ou d’abus de pouvoir, afin de rétablir que tous les droits de l’homme sont inhérents à tout être humain…

    Les Magistrats disposent de pouvoirs considérables sur la vie des citoyens mais, sous prétexte de leur indépendance nécessaire, c’est la seule profession n’ayant pas à rendre compte de ses décisions.

    Il n’est pas étonnant, dans ces conditions, qu’il y ait des erreurs, beaucoup plus nombreuses que ne le croient ceux qui n’ont jamais eu à faire à la justice.

    Les erreurs judiciaires des Magistrats sont parfois corrigées avec les recours judiciaires prévus. (quand ceux-ci sont accessibles, et de dur pas  » ad vitam aeternam  » malgré le droit a un recours effectif)

    Les fautes disciplinaires des Magistrats, notamment leurs fautes professionnelles lourdes (omissions ou erreurs d’interprétations des faits ou de la loi tellement graves qu’elles n’auraient pas dû échapper à leurs auteurs) ne sont jamais sanctionnées, privilège qu’ils sont les seuls à détenir.

    Les Magistrats qui contrôlent d’autres Magistrats ont d’abord le souci de la préservation de l’image de la justice, souci qui coïncide heureusement avec celui de leur solidarité corporatiste, …

    Les victimes de la justice ne peuvent pas attaquer les Magistrats. Elles doivent d’abord attaquer l’état, ce qu’elles ne font pratiquement jamais.

    D’ailleurs, en cas de condamnation de l’état et alors que ce dernier peut se retourner contre les Magistrats, il n’a jamais exercé ce pouvoir.

  2. Oui, j’avais lu cette Incroyable « publicité » mensongére de l’ASE du Cher !! En même temps, je blémissais à l’idée que des parents pouvaient y croire et pouvaient aller demander de l’ « aide » en pensant qu’ils seraient aidés… sans savoir ce qui se cachait derrière.

  3. En commentaire a ma vidéo !!!! Un bel exemple de partialité et d’ arbitrage judiciaire ou le service aide sociale à l’enfance qui est sclérosé par son manque d’empathie est intouchable..!!!!!!!!!!!

    Objet : Re: Droit a un recours effectif – Pétition 0355/2013

    À : PETI Secretariat
    Cc : secretariat_tc@conseil-etat.fr, secteur-recevabilite , sp.president@senat.fr, CABINET-PM Courrier , president@assemblee-nationale.fr, baj.courdecassation@justice.fr, droi-secretariat@europarl.europa.eu, JUST-CHAP@ec.europa.eu, CSM

    Mesdames, Messieurs

    Afin de mettre en évidence cette partialité judiciaire, face des des procédures entachées d’erreurs représentant un déni de justice et totalement arbitraire.

    Cette histoire commence en décembre 2008, ou une juge pour enfants me retire mes droits d’hébergements au profit de visites médiatisées, par une ordonnance de justice provisoire de 6 mois, notifiant 2 services sociaux bien distincts qui étaient censés travailler ensemble pour ces visites médiatisées..

    Mais en juin 2009 une juge remplaçante fait de cette décision provisoire un véritable drame, car au lieu d’ appliquer « l’exception de nullité » en l’espèce qu’aucun de ces services ne m’avait proposé de rencontrer mon fils même dans leurs locaux, car il est cité « au service gardien d’en déterminer le lieu » et bien cette justice Française a reconduit cette mesure et par un faux en écriture de surcroit.(pièce jointe)

    Vous pourrez observer sur les Jugements du JPE de Créteil, en pièce jointe que ceci sont en grande disparité dans leurs énoncés.

    Sur le l’ordonnance de décembre 2008 on notifie : Vu l’article 375 – 7 du code civil, déléguons à la Direction de la Protection de l’ Enfance et de la Jeunesse du val de Marne l’exercice de l’autorité parentale en ce qui concerne les actes relevant de la santé du mineur.

    Puis sur l’ordonnance de juin 2009 on notifie : c’est dans ces conditions que par jugement du 12 décembre 2008 Eddie à été confié au service de l’aide sociale à l’enfance, auquel était également déléguée la responsabilité du suivi médical du mineur.

    Mais comme il y a une très grande marge entre la responsabilité et l’autorité parentale j’estime que le jugement de juin 2009 est un faux en écriture, car il remet en cause les véritables attributs décernés aux service sociaux Français par le jugement de décembre 2008

    La France par son déni de Justice, ces procédures entachées d’erreurs, et le caractère arbitraire de sa magistrature, m’a poussé dans un gouffre d’idéations suicidaires, et me prive toujours aujourd’hui de mes relations avec Eddie….

    Cordialement

    M TERRIOU Bruno

    ……………………………

    Objet : Re: Droit a un recours effectif – Pétition 0355/2013
    À : PETI Secretariat
    Cc : secretariat_tc@conseil-etat.fr, secteur-recevabilite , sp.president@senat.fr, CABINET-PM Courrier , president@assemblee-nationale.fr, baj.courdecassation@justice.fr, droi-secretariat@europarl.europa.eu, JUST-CHAP@ec.europa.eu, CSM

    Mesdames, Messieurs,

    Pourquoi je vous ai cité que les magistrats doivent être sanctionnables et sanctionnés en droit.

    Des lors que ces magistrats maintiennent des positions arbitraires,..!

    Comment ces magistrats du siège ont pu fermer les yeux devant cette incurie des travailleurs sociaux Français, qui était détenteur de l’autorité parentale des actes relevant de la santé du mineur.?

    Comment ont-ils pu accepter qu’ aucun de ces représentants de l’aide sociale a l’enfance détenteur de l’autorité parentale, ne soit présent sur les visites médicales de mon fils (pièce jointe) ?

    Comment peut on accepter cette violation de  » l’égalité des armes » si on ne peut pas poursuivre un magistrat qui manque a ses obligations envers un justiciable et de plus un enfant ?

    Comment peut-on refuser un recours effectif à un justiciable sans faire preuve d’un déni de justice ?

    Cordialement

    M TERRIOU Bruno

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