Un exemple de journalisme

Les maltraitances institutionnelles subies par les enfants et par les familles, nous nous en faisons l’écho au CEDIF. Nous bénéficions d’un lectoral solide et d’une fréquentation toujours en hausse pour informer et alerter sur la situation de la protection de l’enfance.

Ce que nous faisons, la grande presse nationale pourrait le réaliser tout aussi bien puisqu’elle est régulièrement informée. Mais ce contre-pouvoir médiatique n’existe le plus souvent que pour renforcer la voix des sévices sociaux : combien de reportages abétissants sur le rôle de sauveur de l’ASE et des associations qui collaborent, combien de prises de paroles de travailleurs sociaux dont les propos sont en dehors de la réalité vécue ? La complaisance vis-à-vis du pouvoir et particulièrement des collectives locales ne permet pas d’exprimer ce qui fâche.

Il est vrai que l’on ne fâche pas volontiers les pouvoirs publics car leurs mesures de rétorsion sont toutes trouvées, il leur suffitt de boycotter le journal qui ne dit pas ce qu’ils veulent, de lui couper l’accès aux informations locales, au niveau national il s’agira de revoir les financements éventuels, eh oui la presse va mal et certains journaux sont transfusés à coups de subventions. Voila qui assure une normalisation de l’information comme ils disent.

Heureusement, il existe bien des exceptions chez des journalistes d’enquêtes comme ceux de PJ Investigations mais nous pouvons aussi remercier l’hedbomadaire « La Semaine du Roussillon » d’avoir le courage de lever le voile sur la réalité de la protection de l’enfance dans leur département.

Bravo donc à la Semaine du Roussillon et nous reproduisons sa page particulièrement bien informée sur une situation qui fait honte à ce pays.  Merci à Jacques,  notre correspondant local, qui nous a fait connaître cet article.

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Languedoc Roussillon, mobilisation des familles

occitan crossPour réagir effacement aux atteintes de l’ASE et d’associations satellites subventionnées, nous avons besoin de nous appuyer sur des structures CEDIF et sur des associations locales préexistantes. De telles associations ont toute leur place auprès de nous, si elles acceptent de travailler à la défense de l’institution familiale et de l’enfance.

Suite à l’appel que nous avions lancé, des bonnes volontés se sont manifestées. Les parents peuvent désormais s’organiser, recouper des informations, dénoncer et agir sur toute la région Languedoc Roussillon.

Jacques a pris l’initiative de ce combat, nous avons lu avec intérêt son blog centré sur la situation dans le département des Pyrénées Orientales, la thématique abordée y est large et toujours en rapport avec la façon dont la famille est considérée par l’exécutif local.

Le rapport univesristaire Sistach-Tarrius sur les services sociaux des Pyrénées Orientales y est mis à disposition. Un rapport largement accablant pour une profession et des autorités qui doivent être moralisées.

Des suites sont attendues car nous exigeons que toute atteinte aux droits des familles soit sanctionnée. Ce qui implique non pas davantage de moyens mais que des fonctionnaires et associatifs subventionnés du social soient bannis à jamais de telles professions, que des politiques répondent de leurs actes.

C’est avec vous et des rassemblements  locaux que nous mènerons ce combat, d’ores et déjà les parents de la région de Perpignan peuvent donc prendre contact à partir du blog ‘la face cachée des services sociaux des Pyrénées Orientales » (http://ss66.fr/)