Césarienne familiale


Alors qu’en France il est désormais question de mettre fin à « l’idéologie du lien parental » ou du « lien familial » afin de séparer encore plus facilement un enfant de sa famille, de ne pas entraver les services de l’ASE avec le respect de l’autorité parentale, il convient de voir où nous mènent de telles dérives.

Un exemple qui en vaut peut être mille autres est celui de cette femme qui a subi une césarienne forcée en Grande Bretagne, une rupture nette et radicale du lien maternel pour le coup.

L’affaire avait été heureusement bien médiatisée sans que nous en tirions toutes les leçons sur cet univers à la 1984 que les hommes de l’État nous préparent.

Mais revenons sur ce drame avec le recul nécessaire.

Madame Alessandra Pacchieri, 35 ans, de nationalité italienne, fait le choix de venir en Grande Bretagne dans le cadre d’une formation professionnelle d’hôtesse de l’air.

Elle n’est là que de passage et est bien une ressortissante européenne mais étrangère qui ne devrait pas avoir à se soucier des délires des sévices sociaux britanniques. Seulement voila, Madame Pacchieri est enceinte et présente des troubles bipolaires. Elle est soignée et prend régulièrement des médicaux pour cela.  En Grande Bretagne cependant, elle oublie sa médication et fait une attaque de panique, ni une ni deux : elle est embarquée en hôpital psychiatrique et cinq semaines après la cour autorise qu’on lui arrache son bébé dans son ventre par césarienne.

Nous n’aurions d’ailleurs jamais rien su de cette affaire si John Hemming, un député libéral démocrate britannique n’avait alerté les media Lesquels ont relaté il y a quelques mois cette affaire qui date cependant d’août 2012.

La désacralisation du lien familial, maternel en l’occurrence avait servi ici à alimenter la machiner à adopter, laquelle subi également une poussée en France avec le développement de mariages naturellement stériles. En moins de temps qu’il n’en faut pour un accouchement nantais sous X, l’enfant de Madame Pacchieri était confié aux sévices sociaux du comté d’Essex. La mère, de retour en Italie, réclame le retour de sa fille, laquelle âgée de plus de 15 mois reste détenue en Grande Bretagne sur décision de justice. Il paraîtrait que la maman pourrait faire une nouvelle attaque de panique en Italie et qu’il n’est donc plus question de lui rendre sa fille qu’elle n’a jamais vu. La famille en Italie n’a pas été consultée, ni les services sociaux locaux, l’enfant a été placée à l’adoption en avril 2013.

Certes la maman est soignée pour ses troubles depuis 2007 et sa propre mère s’occupe de ses deux autres filles, mais justement c’est le rôle de la famille élargie que de pallier à des insuffisances parentales.

La maman a dit qu’elle souhaitait le meilleur pour sa fille, qu’elle l’aimait et qu’elle priait pour la revoir un jour.

Fin de l’histoire.

Choquant ? Il paraît qu’il va falloir s’y habituer et que l’on appelle celle « principe de précaution » et « fin de l’idéologie du lien parental ». L’ASE en décidera, il lui suffira de produire des constats de délaissement et quelques calomnies sur la famille élargie. Vous me direz ce n’est pas son genre.

 

5 réflexions au sujet de « Césarienne familiale »

  1. Question se genre d exercice criminelle l ae se lecole la prise de neuroleptique sur notice prescription a partir de un an ecrit noir sur blanc attacher droguer et torturer par ces neuroleptique condamner a vie tel des rats de labo a partir de trois ans ces intitutions ces gouvernements ne sont ils pas dicter par des pseudo psy qui on tout pour de condition de vie de mort sur une grande partie du monde des sadiques?

  2. A/HRC/26/L.20/Rev.1 Nations Unies

    Assemblée générale

    Distr. limitée 25 juin 2014
    Français
    Original: anglais

    Conseil des droits de l’homme vingt-sixième session
    Point 3 de l’ordre du jour
    Promotion et protection de tous les droits de l’homme, civils, politiques, économiques, sociaux et culturels,

    Projet de résolution 26/…
    Protection de la famille
    Le Conseil des droits de l’homme,
    Réaffirmant les buts et principes de la Charte des Nations Unies,
    S’inspirant de la Déclaration universelle des droits de l’homme et de la Déclaration
    et du Programme d’action de Vienne, et rappelant le Pacte international relatif aux droits
    civils et politiques, le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et
    culturels, la Convention relative aux droits de l’enfant, la Convention sur l’élimination de
    toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes et d’autres instruments relatifs aux
    droits de l’homme pertinents,

    Rappelant les résolutions 44/82 du 8 décembre 1989, 47/237 du 20 septembre 1993,
    50/142 du 21 décembre 1995, 52/81 du 12 décembre 1997, 54/124 du 17 décembre 1999,
    56/113 du 19 décembre 2011, 57/164 du 18 décembre 2002, 58/15 du 3 décembre 2003,
    59/111 du 6 décembre 2004, 59/147 du 20 décembre 2004, 60/133 du 16 décembre 2005,
    62/129 du 18 décembre 2007, 64/133 du 18 décembre 2009, 66/126 du 19 décembre 2011,
    67/142 du 20 décembre 2012 et 68/136 du 18 décembre 2013 de l’Assemblée générale,
    concernant la proclamation, la préparation et la célébration de l’Année internationale de la
    famille et de ses dixième et vingtième anniversaires,

    * État non membre du Conseil des droits de l’homme.6E.14-06560 (F) 250614 *1406560* 250614

    A/HRC/26/L.20/Rev.1

    Considérant que la préparation et la célébration du vingtième anniversaire de
    l’Année internationale de la famille sont une bonne occasion d’attirer une nouvelle fois
    l’attention sur ses objectifs afin d’accroître la coopération à tous les niveaux quant aux
    questions relatives à la famille et d’agir de façon concertée pour renforcer les politiques et
    programmes axés sur la famille dans le cadre d’une approche globale et intégrée des droits
    de l’homme et du développement,

    Réaffirmant qu’il incombe au premier chef aux États de promouvoir et de protéger
    les droits de l’homme et les libertés fondamentales de tous les êtres humains, notamment
    les femmes, les enfants et les personnes âgées,

    Consciente que c’est à la famille qu’il incombe au premier chef d’élever et de
    protéger les enfants et que ceux-ci, pour l’épanouissement complet et harmonieux de leur
    personnalité, doivent grandir dans un cadre familial et dans une atmosphère de bonheur,
    d’amour et de compréhension,

    Convaincu que la famille, unité fondamentale de la société et milieu naturel pour la
    croissance et le bien-être de tous ses membres et en particulier des enfants, doit recevoir la
    protection et l’assistance dont elle a besoin pour pouvoir jouer pleinement son rôle dans la
    communauté,

    Réaffirmant que la famille est l’élément naturel et fondamental de la société et
    qu’elle a droit à la protection de la société et de l’État,

    1. Décide d’organiser, à sa vingt-septième session, une table ronde sur la
    protection de la famille et de ses membres afin d’examiner la mise en œuvre des obligations
    que les dispositions pertinentes du droit international relatif aux droits de l’homme
    imposent aux États et de débattre des difficultés et des meilleures pratiques recensées à cet
    égard;

    2. Demande à la Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme
    de consulter les États et l’ensemble des parties prenantes, notamment les organismes, fonds
    et programmes des Nations Unies concernés, les organes conventionnels, les titulaires de
    mandat au titre des procédures spéciales, les institutions nationales des droits de l’homme et
    la société civile, afin d’assurer leur participation à la table ronde;

    3.Demande également à la Haut-Commissaire d’établir un rapport résumant les
    discussions de la table ronde et de le lui soumettre à sa vingt-huitième session;

    4.Décide de demeurer saisi de la question.GE.14-06560

  3. Pour une plainte collective contre la France devant l’ ONU pour ségrégation de la famille !!

    Une famille est une communauté de personnes réunies par des liens de parenté existant dans toutes les sociétés humaines..Sauf en France..

    Que pouvons nous retenir que la lutte contre l’impunité des violations graves des droits de l’homme, ne s’applique pas à la magistrature qui sous couvert de leur caractère d’indépendance peuvent annihiler ( briser moralement des familles entières ) ils ne sont pas soumis à ces violations graves …

    Alors que les ségrégations volontaires contre une famille entière est un génocide ou un crime contre le genre humain ou caractère analogue causant intentionnellement de grandes souffrances et des graves atteintes a intégrité mentale des membres du groupe  » famille »

    Sous quel prétexte et quelle excuse peuvent invoquer ces magistrats qui violent délibérément les droits de l’homme par ces immixtions arbitraires et totalement illégales, (Exemple : 5 années consécutives que mon fils handicapé n’a revu aucun membre de sa famille du cote paternel !!)

    Appliquée à un groupe d’appartenance en humanité ( la famille) la ségrégation devient un délit et contraire aux droits et libertés fondamentales, elle consiste à faire subir des discriminations (fondées sur des critères comme l’origine, l’ handicap mental, la positon sociale (pauvreté, précarité) la liste n’est pas exhaustive) par cette action de séparer un ou des éléments d’un tout, d’un ensemble, d’une famille et de le ou les mettre à part….

    L’exclusion parentale consiste à éliminer un ou plusieurs parents (mère, père, grands-parents…) de la vie d’un enfant. Cette attitude qui consiste à détruire les souvenirs, l’image et la place d’un parent dans la vie d’un enfant, survient le plus souvent lors des séparations parentales conflictuelles, mais aussi suite aux attitudes cognitives et comportementales des institutions ou des familles d’accueil ces comportements se révèlent être tout à fait contraire au principe de coparentalité (= exercice de l’autorité parentale) consacrée par la loi n° 2002-305 du 4 mars 2002.

    Conscient que c’est à la famille qu’il incombe au premier chef d’élever et de protéger les enfants et que ceux-ci, pour l’épanouissement complet et harmonieux de leur personnalité, doivent grandir dans un cadre familial et dans une atmosphère de bonheur, d’amour et de compréhension,

    Convaincu que la famille, est une unité fondamentale de la société et e, son milieu naturel pour la croissance et le bien-être de tous ses membres et en particulier des enfants, doit recevoir la protection et l’assistance dont elle a besoin pour pouvoir jouer pleinement son rôle dans la communauté,

    Article 10.. du pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturel

    Les États parties au présent Pacte reconnaissent que:

    1. Une protection et une assistance aussi larges que possible doivent être accordées à la famille, qui est l’élément naturel et fondamental de la société, en particulier pour sa formation et aussi longtemps qu’elle a la responsabilité de l’entretien et de l’éducation d’enfants à charge.

    Pour information concernant les ratifications par la France …..

    Mesdames, Messieurs,

    Le pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (PIDESC) a été adopté par l’Assemblée générale des Nations unies le 16 décembre 1966. Il est en vigueur depuis le 3 janvier 1976. La France l’a ratifié le 4 novembre 1980.

    Le PIDESC garantit aux hommes et aux femmes des droits égaux dans les domaines économiques, sociaux et culturels et prohibe toute forme de discrimination.

    Il comprend :

    – un préambule dans lequel il rappelle « que, conformément à la Déclaration universelle des droits de l’homme, l’idéal de l’être humain libre, libéré de la crainte et de la misère, ne peut être réalisé que si des conditions permettant à chacun de jouir de ses droits économiques, sociaux et culturels, aussi bien que de ses droits civils et politiques, sont créées » ;

    – trente et un articles divisés en six parties : la partie III (articles 6 à 15) expose les droits à protéger. Ceux-ci comprennent le droit de travailler (article 6), le droit à des conditions de travail justes (article 7), le droit de s’affilier aux syndicats et de former des syndicats (article 8), le droit à la sécurité sociale (article 9), le droit à la protection de la famille (article 10), le droit à un niveau de vie suffisant, comprenant le droit d’accès à la nourriture, au vêtement et au logement (article 11), le droit à la santé (article 12), le droit à l’éducation (article 13) et le droit à la culture (article 15).

    Les États parties s’engagent à prendre des mesures spécifiques pour rendre effectifs les principes d’égalité et de non discrimination ainsi que les droits qui sont énoncés dans le Pacte.

    Il prévoit un mécanisme de surveillance (articles 16 et suivants) confié au Conseil économique et social (ECOSOC) qui a créé en 1985 un organe, le comité des droits économiques, sociaux et culturels chargé d’étudier les rapports que les États parties doivent lui soumettre tous les cinq ans. Lors de cet examen, l’État est entendu et doit répondre aux questions du comité. Celui-ci rédige ensuite des « observations finales » dans lesquelles il expose ses préoccupations et recommandations.

    Contrairement au pacte international relatif aux droits civils et politiques (1966), le PIDESC ne disposait pas de mécanisme de communications, individuelles ou collectives.

    Un protocole au pacte international des droits économiques sociaux et culturels fut donc élaboré et adopté le 10 décembre 2008 pour permettre la mise en place d’un mécanisme de plainte auprès du comité des droits économiques, sociaux et culturels pour la violation des droits économiques, sociaux et culturels protégés par le pacte. Ce protocole est entré en vigueur le 5 mai 2013, trois mois après le dépôt du dixième instrument de ratification conformément à l’article 18§1 de pacte. Aujourd’hui, quarante-cinq États l’ont signé, et onze États l’ont ratifié dont trois États membres de l’UE (Espagne, Slovaquie, Portugal).

    Mme Najat Vallaud-Belkacem, ministre des droits des femmes et porte-parole du Gouvernement, a signé ce protocole le 11 décembre 2012, au nom de la France.

    L’objet principal de ce protocole tel qu’il figure à l’article 2 est de créer un nouveau mécanisme de communication à l’attention des particuliers ou groupes de particuliers relevant de la juridiction d’un État partie qui affirment être victimes d’une violation par cet État partie d’un des droits économiques, sociaux et culturels énoncés dans le pacte.

    De plus, l’article 5 du protocole facultatif donne la compétence au comité de prononcer des mesures provisoires à l’égard de l’État-partie mais limite cette possibilité à l’existence « de circonstances exceptionnelles » et à un risque de « préjudice irréparable ». Le cadre semble ainsi suffisamment précis ce qui devrait permettre de limiter le recours à de telles mesures.

    Par ailleurs, les articles 10 et 11 prévoient la possibilité pour un État partie au protocole facultatif de reconnaitre par le biais d’une déclaration officielle la compétence du comité afin d’effectuer une enquête sur place et en matière de plainte interétatique.

    Enfin, l’article 14 du protocole organise la collaboration du comité et des autres instances internationales compétentes et prévoit la création d’un fonds d’affectation spéciale destiné à fournir aux États parties une assistance spécialisée et technique en vue d’une meilleure application des droits reconnus dans le pacte.

    Telles sont les principales observations qu’appelle le protocole facultatif au pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels qui, comportant des dispositions de nature législative, est soumis au Parlement en vertu de l’article 53 de la Constitution.

    Pourquoi cet article est amusant ….

    A cause de cette notation « Mme Najat Vallaud-Belkacem, ministre des droits des femmes et porte-parole du Gouvernement, a signé ce protocole le 11 décembre 2012, au nom de la France. » Elle aurait pu également signer le troisième protocole aux droits de l’enfant qui est ouvert à la signature depuis le 28 février 2012 , ce qui prouve bien que la France n’a aucune attention de laisser aux enfants et a ses représentants le droits d’invoquer les droits de l’enfant devant le Comité, que cache la France ??!!

    Cordialement

    Monsieur TERRIOU Bruno

  4. Mettre fin à « l’idéologie du lien parental » ou du « lien familial » !! Mais qu’ont-ils en tête ces politiciens pour en arriver à vouloir détruire la famille ?

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